Résumé
«C'est alors qu'à la lueur blafarde et jaunâtre de la lune qui se frayait un chemin au travers des volets, je vis cet être vil - le misérable monstre que j'avais créé. Il soulevait le rideau du lit et avait les yeux - si l'on peut les appeler ainsi - fixés sur moi. Ses mâchoires s'ouvrirent et il bredouilla quelques sons inarticulés, tandis qu'un rictus ridait ses joues. Peut-être dit-il quelque chose, mais je ne l'entendis pas. Il tendit une main comme pour me retenir, mais je m'échappai et descendis précipitamment les escaliers. Je me réfugiai dans la cour de la maison que j'habitais ; j'y demeurai le reste de la nuit, marchant de long en large dans un état d'agitation extrême, écoutant attentivement, percevant et redoutant le moindre son, comme s'il devait annoncer l'approche de ce cadavre démoniaque auquel j'avais si malheureusement donné la vie».
Pas du tout ce à quoi je m'attendais, c'est beaucoup plus profond , plus complexe aussi. Contente d'avoir découvert ce classique
Livre acheté il y’a quelques années. Quel roman… tellement bien écrit , ficelé. On se prend presque de compassion pour la créature créée par Victor Frankenstein. C’est fluide , et bien raconté. C’est aussi dramatique et horrible. Un très beau livre que je relirai une autre fois Inch’Allah
Ne pas connaître l’amitié est la pire des infortunes.
Étagère 6 bas
Fin plutôt decevante mais recit qui fait reflechir sur la nature humaine, sur la responsabilité de la science et de l’ethique.