
2019
•
Maud Ankaoua
Résumé
Maëlle, directrice financière d'une start-up en pleine expansion, n'a tout simplement pas le temps pour les rêves. Mais quand sa meilleure amie, Romane, lui demande un immense service - question de vie ou de mort -, elle accepte malgré elle de rejoindre le Népal. Elle ignore que l'ascension des Annapurnas qu'elle s'apprête à faire sera aussi le début d'un véritable parcours initiatique. Au cours d'expériences et de rencontres bouleversantes, Maëlle va apprendre les secrets du bonheur profond et transformer sa vie. Mais réussira-t-elle à sauver son amie ? Passionnée par les relations humaines, Maud Ankaoua signe un premier roman riche d'enseignements et rempli d'espoir. Il changera pour toujours notre compréhension des autres et nous rappelle l'essentiel de la vie.
Opinion du public
314 avis
7.7/10
Les lecteurs trouvent que 'Kilomètre zéro' est un voyage initiatique enrichissant qui offre des perspectives profondes sur le bonheur et la vie intérieure. Beaucoup apprécient les enseignements sur la gestion des émotions et la quête de sens, bien que certains trouvent le style d'écriture et le développement des personnages peu captivants. Globalement, le livre est perçu comme une source d'inspiration pour ceux qui cherchent à transformer leur approche de la vie.
👍 Approche inspirante du bonheur et de la vie intérieure.
👎 Style d'écriture et personnages parfois peu captivants.
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Un petit peu décevant, histoire un peu cousue de fil blanc. Néanmoins il reste une leçon de vie sur l'ouverture aux autres et à l'inconnu, la capacité à sortir de ses certitudes et regarder les choses sous un autre angle en se libérant des contraintes "sociales" dans lesquelles nous nous enfermons. A voir le chemin de vie que l'on souhaite ...
Bien
Himalaya
De bonnes idées dans un roman initiatique et feel-good plutôt convenu.
4/10, j'ai trouvé ça très lourd et très long, plutôt rébarbatif
Livre assez intéressant avec de beaux messages mais ça reste très en surface, le personnage n’est pas très attachant
Pour réellement profiter du moment présent, il faut regarder avec un nouveau regard, observer et ne pas comparer sans cesse à ce que l’on connaît. Nous avons le choix face à nos émotions soit les alimenter soit les apaiser (voiture). Nous sommes seuls responsables de l’état d’esprit dans lequel nous décidons de vivre à chaque instant. Seul deux sentiments existent : l’amour ou la peur à nous de choisir ! L’état d’amour permettrait de se délivrer des énergies bloquées qui sont à l’origine de la plupart des maladies. Théorie des cailloux, ce qui doit prendre le plus de places dans notre vie et retenir toutes notre attention, le reste ne doit pas nous prendre toute notre énergie. Mais pour que nos cailloux fonctionnent ils faut vibrer cette énergie, accepter les opportunités, Tu attires ce que tu es. Contrôler nos pensées pour s’assurer qu’elles sont phases avec nos objectifs premiers. Il faut essayer de déconstruire nos mécanismes de défenses, de stratégies et de pensées pour regarder d’un œil neuf. En occident tout repose sur l’argent et le matériel, notre système de compréhension, d’acceptation, d’amour, de pouvoir et base là dessus. On ne conçoit plus d’être aimé pour notre simple personne. Faire des intentions : affirmer ce que l’on souhaite dans le présent, comme si on l’avait déjà. Ce que nous renvoyons et le reflet de notre état d’esprit, nous pouvons changer le présent, changer notre état vibratoire. Notre cerveau croise les milliers d’informations déjà connues qui entrent avec celle déjà connues et il modifie tous les schémas affectés par les nouvelles données. Ainsi nous ne pouvons pas être objectif car nous la traitons avec notre passé, notre vécue, nos angoisses. Sois attentive aux coïncidences de la vie et laisse faire l’univers, qui agira selon les lois de l’attraction. Il faut accepter ce qui est, pour savoir ce que l’on désire. Ce n’est pas le résultat final qui est important, mais le chemin. Du plaisir à chaque seconde, ainsi le voyage sera une réussite. Le bonheur ne réside pas au kilomètre final qui n’existera jamais, mais au kilomètre zéro qui commence à chaque instant. Plein de relations amoureuses ne fonctionnent pas, car nous attendons de l’autre qu’il comble nos carences. Tant que nous ne travaillons pas sur nos besoins non satisfaits, nous projetons sur l’être aimé nous attentes au point de l’idéaliser. Ainsi, lorsqu’il ne satisfait plus nos attentes, nos sentiments se transforme en haine. Lorsque l’on a réglé nos blessures, on peut offrir et partager ce que nous sommes. C’est un leurre de croire que quelque chose d’extérieur à toi te rendra heureuse. Tu le seras parce que ton bonheur sera plein en toi. Il faut arrêter d’interpréter tout ce que l’on fait ou ce que pensent les autres. Sinon on perd une grande partie de notre énergie, on croit à nos hypothèses comme une réalité, créant des problèmes inexistant. Il faut arrêter de justifier pour cela. Il faut arrêter de juger tout ce qui se produit pour retrouver un état de bien-être. Il est indispensable de regarder le monde avec bienveillance en ce libérant du jugement. Quand on juge quelque chose, c’est ceux qui nous fait mal une zone d’ombre nonréglée. Rien de l’extérieur ne peut m’atteindre lorsque j’ai résolu mes problèmes. Seul l’égo peut être offensé et assaillir en retour. L´ego est facile à repérer. Il te donnera toujours raison. Il juge et condamne. Certaines personnes me renvoient vers mes problèmes non réglés. Elles me sortent de ma zone de confort, alors que d’autres. Au contraire, me recentrent. L’individu qui nous inspire de l’antipathie fait appel à ce qui nous est laborieux de reconnaître chez nous. À l’inverse, les gens que nous respectons sont souvent ceux qui nous servent de modèle dans la vie. « si tu rencontres, un individu de valeur, cherche à lui ressembler. Si tu rencontres un individu médiocre, chercher ses défauts en toi-même. » Confucius L’autre est un miroir de nos propres fonctionnement et dysfonctionnements, il nous permet de révéler ce que nous avons cherché à enfouir ou à nier. L’autre est un cadeau extraordinaire, il nous permet d’accéder à ce que nous refusions de voir. Tant que tu es en manque, tu ne pourras aimer. Tu sauras ce qui est bien pour toi à partir du moment où tu te feras confiance. C’est ainsi que tu vivras en phase avec tes désirs profonds, sans crainte du rejet. Lorsque tu entreras en amitié avec toi-même, tu n’auras plus peur d’être seul. Nous nous ne regardons que par le prisme de l’amour ou de la peur. L’autre elle, reflet de nous-mêmes, nous ne faisons qu’un. Si nous faisons le choix du bonheur, le pardon en est la clé. Il faut comprendre ce que mon interlocuteur touche en moi. Qu’est-ce qui n’est pas résolu chez moi pour que son comportement ou ses mots m’atteignent. Au lieu de se placer en victime et trouver en face le bourreau positionnons-nous comme le responsable de notre douleur et déchiffrant pourquoi notre interlocuteur nous renvoie cette souffrance. Celui que le considère comme l’ennemi est un cadeau précieux. Il nous ouvre les portes de ce que nous devons résoudre en nous pour être heureux, afin de dépasser les barrières de nos croyances.
Un bon feelgood book et développement personnel avec des citations et des notions intéressantes
Chaque instant, que tu perds à être malheureuse, ne te sera jamais rendu. Tu sais où commence ta vie, mais pas quand elle s’arrête. Une seconde vécue est un cadeau que nous ne devons pas gâcher. Le bonheur se vit maintenant. Ton cerveau a besoin d’être rassuré. La nouveauté fait peur à l’ego qui critique et se sert de tes facultés mentales pour comparer afin de se rassurer en te ramenant dans sa zone de connaissance. Oublier tout ce que tu as appris implique qui ne t’est plus possible de rapprocher quoi que ce soit. Tu restes ainsi en observatrice de ce que tu vois. Tu ne peux plus juger puisque rien d’autre n’existe que ce qui est. Il n’y a plus de con d’inconnu. Il n’y a que des images qui passe devant tes yeux . Nous avons le choix de retrouver le bien-être dans lequel nous étions avant une situation pénible, ou d’alimenter notre colère contre celle-ci, autant que nous souhaitons, mais la fraction de seconde dans laquelle nous avons était agacé, ne peut justifier le long mal être qui suit. Nous ne sommes pas responsables des actes des autres, mais de ses émotions et de son mal-être. Si j’ai ressenti quelque chose d’agaçant, je cherche à leur à contrôler mes pensées pour ne pas me laisser submerger par des sentiments négatifs qui se retournerai contre moi. C’est ainsi que j’ai retrouvé mon équilibre. Si nous admettons que le bonheur prend connaissance en nous, et que rien ne peut le déséquilibrer, nous verrouillons l’accès aux situations extérieures toxique. nous observons, sans y ajouter de pensée polluante. Page 68. Je n’ai pas de temps à perdre avec des émotions qui ne me conviennent pas. Discuter avec une personne prise en otage par son orgueil me demande trop d’efforts. Elle cherchera à avoir raison quelque soit la situation et particulièrement quand elle a tort. Je n’ai pas d’énergie à perdre écoute le monologue de ton ego, et laisse-moi me concentrer sur ma route. Page 137 Nous ne sommes jamais en perception directe mais en interprétation. Nous fabriquons notre réalité à partir de notre connaissance et de nos expériences. Page 205 Chaque fois que j’ai peur, que je juge, que je médis, je suis sous l’emprise de mon ego, je tourne le dos à la connexion. Je veux rester unique. Page 290