
2012
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Carlos Ruiz ZAFÓN
Résumé
Barcelone, 1945. Dans la brume du petit matin, un libraire guide son enfant au coeur du Quartier gothique, vers le Cimetière des livres oubliés. En ce lieu mystérieux, le rituel veut que tout nouveau visiteur adopte un livre pour le sauver de l'oubli. Parmi plusieurs milliers de volumes, Daniel rencontre celui qui va bouleverser le cours de sa vie : L'Ombre du vent. "Entre Gabriel García Márquez, Umberto Eco et Jorge Luis Borges... Ruiz Zafón nous offre un éventail de personnages et d'histoires aussi violents que séduisants. Son roman nous emporte dans des tourbillons de passion, de revanche et de mystère. [...] On est emporté dans un parcours sauvage avec des embardées à vous couper le souffle." The New York Times. "Si vous pensez que le roman gothique a disparu au XIXe siècle, ce livre va vous faire changer d'avis. Dans les mains de Carlos Ruiz Zafón, chaque scène semble venir de l'un des premiers films d'Orson Welles. Une lecture splendide." Stephen King. Vendu à plus de douze millions d'exemplaires dans le monde, L'Ombre du vent est le livre qui a révélé Carlos Ruiz Zafón.
1945. Livre choisi par un enfant emmené par son père dans le cimetière des livres oubliés. Fasciné par le roman et par son mystérieux auteur Daniel, le petit garçon se lance sur les traces de l'écrivain sans se douter qu'il lève la tempête. Étrangement leur deux vies deviennent liées. Un superbe roman au souffle romanesque. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du "Fantôme de l'opéra" ou du mm"Maître et Marguerite", énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
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Pas fini
Lu sur liseuse . Très long ...
AOÛT 2017 TOME 1 DU CYCLE : LE CIMETIERE DES LIVRES OUBLIES
En tête dans la liste de mes livres préférés ❤️
* L’un des pièges de l’enfance est qu’il n’est pas nécessaire de comprendre quelque chose pour le sentir. Et quand la raison devient capable de saisir ce qui se passe autour d’elle, les blessures du cœur sont déjà trop profondes. * [...] il suffira de trois ou quatre générations pour que les gens ne sachent même plus lâcher un pet pour leur compte et que l’être humain retourne à la caverne, à la barbarie médiévale et à l’état d’imbécilité que la limace avait déjà dépassé au Pléistocène. Ce monde ne mourra pas d’une bombe atomique, comme le disent les journaux, il mourra de rire, de banalité en transformant tout en farce et, de plus, en mauvaise farce. * Méchants, non. Imbéciles, ce qui n’est pas la même chose. La méchanceté suppose une détermination morale, une intention et une certaine réflexion. L’imbécile, ou la brute, ne s’attarde pas à réfléchir ou à raisonner. Il agit par instinct, convaincu qu’il fait le bien, qu’il a toujours raison, et fier d’emmerder tout ce qu’il voit différer de lui, que ce soit par la couleur, la croyance, la langue, la nationalité ou la manière de se distraire. ~ L’Ombre du vent, Carlos Ruiz Zafón ~