Résumé
Psychanalyste, Simon a fait profession d’écouter les autres, au risque de faire taire sa propre histoire. À la faveur d’une brèche dans le quotidien – un bol cassé – vient le temps du rendez-vous avec lui-même. Cette fois encore le nouveau roman de Jeanne Benameur accompagne un envol, observe le patient travail d’un être qui chemine vers sa liberté. Pour Simon, le voyage intérieur passe par un vrai départ, et – d’un rivage à l’autre – par le lointain Japon : ses rituels, son art de réparer (l’ancestrale technique du kintsugi), ses floraisons... Quête initiatique qui contient aussi tout un roman d’apprentissage bâti sur le feu et la violence (l’amitié, la jeunesse, l’océan), c’est un livre de silence(s) et de rencontre(s), le livre d’une grande sagesse, douce, têtue, et bientôt, sereine.
Opinion du public
164 avis
8.1/10
Les avis sur ce livre révèlent une appréciation générale pour son écriture poétique et son cadre apaisant. Les lecteurs sont captivés par le voyage introspectif du protagoniste, un psychanalyste qui se rend au Japon pour se redécouvrir à travers l'art du kintsugi. Ce parallèle entre la réparation de la porcelaine et la guérison personnelle est particulièrement apprécié. Toutefois, certains trouvent le rythme lent et les symboles parfois trop appuyés.
👍 L'art du kintsugi comme métaphore de la guérison personnelle.
👎 Rythme lent et symbolisme parfois lourd.
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Un livre qui fait du bien, qui interroge sur le sens qu’on donne à sa vie, ce qu’on en fait.
Livre Noël / kdo Géraldine Voyage au Japon d’un psychanalyste qui fait une pause dans sa vie. Plein de poésie . Il manque une vraie fin
Athmosphere apaisante dans ce monde îlien japonais. Un voyage intérieur Expérience sensorielle
Superbe écriture, quelle poésie ! C’est à la fois âpre et doux. Un cheminement vers soi, vers l’acceptation et le pardon !
Ça m a saoulée. Des clichés sur le Japon, une mièvrerie de la serenité.. Tout est symbolique et tellement cousu ( eh eh) de fil blanc. C est appuyé. Les phrases trop courtes donnent un rythme moche. Et surtout, il faut montrer que chaque mot est profond. Et bien sûr on reflechit sur les mots avec des mots qui se regardent le nombril. Le même procédé à chaque fois qui consiste à ne pas dire un evt e important au début et à nous le faire découvrir après. Et le héros dort tout le temps comme ça on comprend qu il est psy et que les rêves sont fondamtaux. Je ràle mais je l ai quand même lu jusqu au bout.
Book club L’art du kintsugi : kin = or Tsugi = jointure