Résumé
Edition enrichie (Commentaires sur l'oeuvre) 1838. Un seigneur étranger, le comte de Monte-Cristo, intrigue le grand monde parisien par son faste extraordinaire, ses manières, raffinées et fantasques, la jeune femme orientale qui vit dans son ombre. Qui – hormis peut-être la belle et mélancolique comtesse de Morcerf – pourrait reconnaître en lui le pauvre marin Dantès, arrêté à Marseille vingt-trois ans plus tôt ? A travers les péripéties d’une vengeance implacable, c’est le Paris de Balzac qui revit dans ce second volume. Dandys, femmes du monde, personnages patibulaires ressurgis du bagne, se croisent autour d’inoubliables figures – le banquier politicien Danglars, le sévère procureur de Villefort, le hautain comte de Morcerf, pair de France. Romancier de l’histoire, l’auteur des Trois Mousquetaires et de La Reine Margot révèle dans ce chef-d’œuvre une autre facette de son génie : le roman de mœurs et de critique sociale, servi par un sens inégalé de l’action et du suspense.
Excellent! Par rapport au tome 1, il se passe tellement de choses, tout bouge beaucoup plus vite, il y a bien plus d'action et de suspens. Je suis seulement un peu déçue de la façon dont Danglars aura été punis: c'était bien trop doux, trop facile. Il aurait mérité bien pire, et pour le coup le film ne l'épargne pas (et c'est bien). J'aurais vraiment préféré qu'il subisse le même sort que Villefort ou Morcef, une bonne d'échéance bien méritée. Là je suis vraiment restée sur ma fin, on aurait dit qu'on lui tapait sur les doigts pour une broutille qu'il aurait commise... :/
Début 05/04 - fin 28/05/25
Deuxième partie centrée sur la vengeance…même si certains procédés se révèlent peu crédibles ( la « mort « de Valentine, notamment), ça reste une référence et un livre à classer au panthéon des romans d’aventures! À noter, que les différents films tournés ( dont le dernier, magnifique au demeurant avec Niney)s’éloignent énormément de l’histoire de Dumas!
Un chef d’œuvre du premier au dernier mot
La vengeance du Comte de Monte Christo
Écrit presque parfois à la manière d’une pièce de théâtre. Le début est un peu chiant comme la fin du tome 1, et ça commence à être de nouveau intéressant à partir du chapitre du dîner. J’ai préféré quand on revient du point de vue du comte