
2008
•
Richard Powers
Résumé
"Tout commence en 1939, lorsque Delia Daley et David Strom se rencontrent à un concert de Marian Anderson. Peut-on alors imaginer qu'une jeune femme noire épouse un juif allemand fuyant le nazisme ? Et pourtant... Leur passion pour la musique l'emporte sur les conventions et offre à leur amour un sanctuaire de paix où, loin des hurlements du monde et de ses vicissitudes, ils élèvent leurs trois enfants. Chacun d'eux cherche sa voix dans la grande cacophonie américaine, inventant son destin en marge des lieux communs : Jonah embrasse une prometteuse carrière de ténor, Ruth, la cadette, lutte aux côtés des Black Panthers, tandis que Joseph essaye, coûte que coûte, de préserver l'harmonie familiale. Peuplé de personnages d'une humanité rare, 'Le temps où nous chantions' couvre un demi-siècle d'histoire américaine, nous offrant, au passage, des pages inoubliables sur la musique." [Source : 4e de couv.]
Trop long (plus de 1000 pages !!!). Dommage parce qu’il contient de vraies richesses : histoire du racisme aux EU, sur la douleur et la souffrance des Noirs, sur les rescapés de la Shoah, sur les fractures produites au fil des générations. Vocabulaire et style très évolué, à la limite de l’outrance littéraire : trop de pages, trop de phrases, trop de mots. Des domaines très-trop pointus (physique quantique, musique classique, opéra). Tissage entre la mémoire familiale et l’histoire collective. Je suis arrivée au bout épuisée par l’excès de style.
Gros pavé très bien écrit.certes il y a des longueurs mais l'histoire américaine de 40 aux années 80 avec en toile de fond la musique et le racisme est bouleversante.