Résumé
Une jeune infirmière traumatisée, obligée de raconter sa terrible histoire aux autorités. Une résidence luxueuse dissimulée au coeur de la forêt boréale et regorgeant d’horreurs innommables... Un prisonnier sauvagement mutilé, incapable de venir en aide à une famille au funeste destin. Un adolescent dont l’âme a depuis longtemps été arrachée, servant un maître impitoyable. Une bête maudite, capable des pires atrocités... __ Les nombreuses versions de La belle et la bête subliment un éternel fantasme romantique, celui de dompter et de transformer un ignoble monstre grâce à un amour sincère. Et si cet amour n’était en réalité qu’une obsession malsaine, une solution pour concrétiser d’abjectes pulsions ? Toute malédiction n’est peut-être pas bonne à briser...
WOAW Richard mon homme même si c'est un énorme psychopathe (bon vas-y il a tué Crochet mais je savais pas à l'époque 🫠) Et rip Iza
J'ai adoré !
Le premier mot qui me vient quand on me demande ce que je pense de ce livre c’est « sale ». C’est un livre dans lequel on se plonge très facilement, il se lit simplement et rapidement mais par contre pour les cœur sensible il sera important de faire des pauses par moment… les scènes sont tellement bien décrites que l’on peut les imaginer dans les moindres détails… chose que part moment l’on préférerait éviter 😌 Mais il est vrai qu’il a été mon premier conte interdit et j’en suis très contente ! Ce conte apporte une belle leçon de morale
Montre les mécanismes de l'ascendance psychologique d'une personne profondément mauvaises de par son vécu, sur une personne que personne n'a jamais réellement aimé et qui présente des faiblesses psychologiques. Un duo qui baigne dans la violence, le sexe et la vengeance
✨ LU EN 2 JOURS Une jeune infirmière traumatisée, obligée de raconter sa terrible histoire aux autorités. Une résidence luxueuse dissimulée au coeur de la forêt boréale et regorgeant d’horreurs innommables… Un prisonnier sauvagement mutilé, incapable de venir en aide à une famille au funeste destin. Un adolescent dont l’âme a depuis longtemps été arrachée, servant un maître impitoyable. Une bête maudite, capable des pires atrocités… Les nombreuses versions de La belle et la bête subliment un éternel fantasme romantique, celui de dompter et de transformer un ignoble monstre grâce à un amour sincère. Et si cet amour n’était en réalité qu’une obsession malsaine, une solution pour concrétiser d’abjectes pulsions ? Toute malédiction n’est peut-être pas bonne à briser… Divisé en deux parties, j’ai eu droit à deux émotions principales lors de ma lecture : La première partie m’a directement intrigué, tout se passe vite, on n’a pas le temps de s’ennuyer. Les références au conte original de la belle et la bête sont bien présentes, ce qui tient la route. Et une fois cette partie finit, on pourrait se dire que tout s’arrête là, et que malgré les horreurs que contient cette première partie, « tout est bien qui finit bien ». Mais avec l’interlude, on comprend vite que ce n’est pas fini, et c’est là que tout se transforme, que tout prend une tournure encore plus dérangeante et tondue que la première. De la violence, du sang, du cri, de la torture, de là cannibalisme, des scènes inimaginables. Même s’il y en avait un peu dans la première partie, tout ça étaient moins glauques. Mais là. De la violence gratuite, à chaque ligne de la seconde partie. Un retournement de situation qui se voulait inattendu, mais qu’on peut facilement deviner avec l’interlude. Mais cette partie remet en question toute la première partie qui n’a finalement jamais eu lieu. La fin est encore plus affreux et absurde. Notre personnage principal, finalement aussi folle que la bête, finit par mourir mais ce n’est même pas la mort qui l’effraie, c’est juste le fait de ne plus voir son amant. Un livre qui résume plus ou moins le syndrome de Stockholm. Même si le livre est bien écrit et bien imagée et qu’il se lit très rapidement, je l’ai, étonnement, trouvé affreux et pas très réaliste -surtout la deuxième partie, même si bien sûr ça doit bien exister. Horriblement horrible. 11/20