2016
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Durian Sukegawa
Résumé
« Écouter la voix des haricots » : tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges dont sont fourrés les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait partager. Magnifiquement adapté à l'écran par la cinéaste Naomi Kawase, le roman de Durian Sukegawa est une ode à la cuisine et à la vie. Poignant, poétique, sensuel : un régal.
En commençant à lire ce livre je ne m’attendais pas à ça mais j’ai été agréablement surprise c’est une histoire originale et touchante dont on ne veut pas décrocher la lecture. C’est sympa et poétique. C’était une belle petite lecture pour découvrir la culture japonaise.
L’histoire de ce livre est très belle mais aussi assez triste. Il a été agréable à lire même si je me pose toujours des questions sur la raison pour laquelle Sentarô était en prison. J’aurais bien aimé voir un passage où il ouvre sa propre boutique !
Un sujet délicat comme les dorayaki celui de l'isolement contraint ou subit dans un japon moderne et tellement traditionnel. La poésie des cerisiers en fleur vient alléger le sujet grave et lourd qui pèse sur chaque protagoniste mais tout comme le cerisier la saison des fleurs revient chaque année dans un cycle sans fin.....
Un petit bijou de la littérature japonaise que j’apprécie de plus en plus par sa finesse, et sa délicatesse, par le fait que l’on touche à une civilisation, bien différente de la nôtre. On en a fait un film mais que je n’ai pas encore vu.A voir
Le meilleur des livres. Lu en 2016
Bien, poétique, c’est une belle histoire mais beaucoup plus facile à lire que le précédent roman japonais et moins profond. Un peu histoire facile ! Intéressant de découvrir comment étaient traités les lépreux au Japon jusqu’aux années 80…