
David Foenkinos
Résumé
Je voulais dire à mon grand-père que je l'aimais, mais je n'y suis pas parvenu. J'ai si souvent été en retard sur les mots que j'aurais voulu dire. Je ne pourrai jamais faire marche arrière vers cette tendresse. Sauf peut-être avec l'écrit, maintenant. Je peux le lui dire, là. David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur la vieillesse et les maisons de retraite, la difficulté de comprendre ses parents, l'amour conjugal, le désir de créer et la beauté du hasard, au fil d'une histoire simple racontée avec délicatesse, humour, et un art maîtrisé des formules singulières ou poétiques.
Très sympa
Le debut du roman avec les souvenirs des grands parents j’ai beaucoup aimé et m’y suis retrouvée. Puis la partie plus sûr l’histoire d’amour j’ai un peu moins apprécié
Son style de vie au début j’aime bien la vibe qui s’y dégage . J’adore l’histoire de la grand mère qui fugue etc.. Après l’histoire d’amour entre Louise (la maîtresse d’école) et Romain je suis moins fan mais j’adore la toute fin en mode papa célibataire .
Super première partie sur la grand-mère et son chemin vers les souvenirs avant la mort. Il m’a énormément touché et pour moi il aurait dû s’arrêter sur ça. La suite, l’histoire d’amour bâclée, n’est que très peu intéressante. La note est vraiment dédiée à ce que j’ai ressenti les 2/3 du livre.
JUIN 2019
Sentiment étrange en parcourant ce livre
Livre plutôt bien, j’ai trouvé l’histoire un peu longue par moment mais j’ai tout de même bien aimé le lire. On suit la vie d’un mec après l’âge adulte, le travail, la vie de famille, la vieillesse, la maladie, la mort, l’amour…. Tout. L’histoire est assez émouvante, sa grand-mère part en maison de retraite, le décès de son grand-père, la dépression de sa mère… je ne sais même pas comment le résumer mais je l’ai bien aimé j’ai une relation bizarre avec ce livre
J’adore cet auteur. Il pourrait écrire un livre entier sur de la merde, ce serait quand même un best seller. On se fout de ce qu’il raconte, on aime juste comment il le raconte. Son style bien à lui, humble, simple et intelligent, avec une pointe d’humour et de poésie. Mais c’est toujours la même chose. J’ai commencé par « Vers la beauté », que j’ai adoré, et j’ai embrayé avec quelques autres de ses livres jusqu’à me procurer toute sa bibliographie. C’est toujours la même chose. La description des personnages, le ton employé, la construction du roman… on s’y perd car on mélange toutes ses histoires les unes avec les autres. Alors oui ça marche, et ouvrir un Foenkinos sera toujours une valeur sûre. On ne s’ennuie pas, ou très peu, mais lire un ou deux de ses romans suffisent pour cerner le contenu de tous les autres.