
2013
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Stefan Zweig
Résumé
Un ecrivain viennois apprend en lisant son courrier qu'une femme l'aime en secret d'un amour absolu depuis des annees... Une nuit, un voyageur rencontre dans un bar un homme autrefois dominateur, aujourd'hui humilie par une fille a matelots... Ces deux nouvelles publiees en 1922 temoignent de l'art de Stefan Zweig pour depeindre les tourments de l'amour non partage, la passion qui brule les coeurs et detruit les vies... Traduction d'Alzir Hella et Olivier Bournac. Revision de la traduction de Brigitte Vergne-Cain et Gerard Rudent.
Un récit touchant , un personnage détestable mais auquel l’on s’identifie très aisément…
je l’ai lu très rapidement, j’étais absorbée. Rien à dire j’ai aimé l’écriture, les émotions et les synopsis
L’obsession de l’inconnue au début m’a dérangé. Elle est obsédée par un homme adulte qui a une vie et qui n’en a rien a faire d’elle, il ne l’a connait même pas. Et même lorsqu’elle est adulte, il l’a consomme et ne se souvient pas de son visage ou de son nom. J’étais quand même plus à l’aise par la suite mais c’étais une lecture spéciale.
J’ai adoré l’écriture Zweig. J’ai été fascinée par la manière dont il arrive à nous faire trouver beau un amour problématique. J’aurais aimé qu’il dure plus longtemps.
❤️💌👨🏼🦰👩🏻🦳🧒⚰️
Premier classique. J’ai beaucoup aimé. Histoire d’une femme qui n’a vécu que pour un homme qui ignorait tout d’elle.
croatie, lu par papa aussi 🤍
quand les larmes auront coulé...
« J'avais, si je puis parler ainsi, tout parcouru en rêve; je m'étais imaginé dans des moments de pessimisme, que tu me repousserais, que tu me dédaignerais parce que j'étais trop insignifiante, trop laide, trop importune. Toutes les formes possibles de ta défaveur, de ta froideur, de ton indifférence, je les avais toutes arpentées, dans des visions passionnées; mais dans mes heures les plus noires, dans la conscience la plus profonde de ma nullité, je n'avais pas envisagé celle-ci, la plus épouvantable de toutes : que tu n'avais même pas fait la moindre attention à mon existence. »