
2021
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Roland Perez
Résumé
Le récit tendre et détonnant d'une enfance pas comme les autres, bercée par la voix de Sylvie Vartan. Un roman drôle et chaleureux sur la famille et sur la différence. A cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d'origine marocaine. Un appartement plein de vie d'où Roland ne peut sortir, si ce n'est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Très croyante et surprotectrice, elle le garde à l'écart du monde extérieur. L'appartement est devenu son territoire, d'où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et sœurs et de leurs amis. Mais c'est en regardant la télévision qu'il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, " étoile parmi les étoiles ". Un jour, alors qu'il a six ans, un miracle se produit : il réussit enfin à marcher. Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un roman tendre et loufoque, aux personnage drôles et attachants. Une histoire vraie, lumineuse et pleine d'espoir.
Attendrissant. Vite lu.
Touchant, truculent.. on imagine et on entend bien la mère de Roland Perez.. Beau témoignage d’amour d’un fils à sa mère. Sa mère qui s’est dévouée corps et âme pour que son fils soit guéri. Une femme vraisemblablement fatigante dans la vie mais qui n’a peur de rien et fera tout pour arriver à ses fins, une femme d’une générosité extraordinaire Post face de Sylvie Vartan touchant car elle y remercie Roland, son avocat devenu l’un de ses meilleurs amis, de lui avoir fait toucher du doigt le fait que les artistes peuvent jouer un rôle quasi irréel dans la vie des gens.
Belle historie
J’ai adoré le film, j’ai donc voulu découvrir le livre qui ne m’a pas déçue ! Toujours la même émotion ! Très bel hommage à l’opiniâtreté et à l’amour de sa mère ! ❤️
Avec soso et latif
Mieux que le film Ah ces mères juives ou italiennes ! Beaucoup d’amour mais trop de contrôle
Très chouette bouquin, basé sur une hostoire. Vraie
La fratrie vit dans un HLM à Paris. Le petit dernier, Roland, se traine sur le lino avec son pied bot. Esther, sa mère, marocaine juive séfarade, généreuse, audacieuse et bienveillante, ne se résigne pas. Elle conteste le verdict des médecins : son fils marchera. Elle prie, consulte, s’acharne. Le miracle opérera après 18 mois d’immobilisation où il a fallu occuper Roland. On l’installe au salon où il y a la télé et on lui achète un mange-disque et tous les 45 tours de Sylvie Vartan qu’il écoute en boucle. Il apprend à lire et à écrire avec les paroles. Il peut intégrer l’école et rentrer dans le rang de la vie qui s’avérera …peu banale.
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