Résumé
Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c’est le frère de l’Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom et une histoire au mort resté "l'Arabe" jusqu'ici. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel. Voir Kamel Daoud parle de son livre "Meursault, contre-enquête"Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c’est le frère de l’Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom et une histoire au mort resté "l'Arabe" jusqu'ici. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel. Voir Kamel Daoud parle de son livre "Meursault, contre-enquête"Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c’est le frère de l’Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom et une histoire au mort resté "l'Arabe" jusqu'ici. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel. Voir Kamel Daoud parle de son livre "Meursault, contre-enquête"Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c’est le frère de l’Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom et une histoire au mort resté "l'Arabe" jusqu'ici. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel. Voir Kamel Daoud parle de son livre "Meursault, contre-enquête"
C'était pas ouf
Je voulais lire ce livre depuis longtemps, et le goncourt a houris m’a motivé Parti pris très intéressant…raconter l’histoire de l’arabe tué dans l’étranger de camus..par la bouche de son frere L’écriture est extrêmement serrée, tendue, complexe dans la forme et le fond (personnages nombreux) Cela m’a aussi encouragé a relire l’etranger et voir sur lcp un reportage sur camus Le tout est donc très intéressant Mais je lirai houris plus tard, après un peu de lègeretè
Lu aux Maldives
2017
le parallèle à l’etranger de Camus a lire en contrepoint avec la vision de l’éttanger algérien étranger pour les français, frère de la victime, de Moussa dont le nom n’est même pas donné dans le livre d’Albert Camus En opposition on ne nomme le crominel que comme le frère de la victime du 1er meurtre et la victime du second, on s’en fiche qu’il ne soit pas coupable. Deux meurtres sans raison sauf celle de ne pas être du même sang. Ka psychologie du frere est particulièrement bien étudiée. Celle de son interlocuteur semble imaginée à l’aune des ressentiments du narrateur. Un dialogue imaginaire façonné d’après l’Histoire.