
David Foenkinos
Résumé
'Je pense à Iris qui fut importante tout de même, à Émilie aussi, à Céline bien sûr, et puis d'autres prénoms dans d'autres pénombres, mais c'est Alice, toujours Alice qui est là, immuable, avec encore des rires au-dessus de nos têtes, comme si le premier amour était une condamnation à perpétuité.' Alice et Fritz s'aiment, et passent leur vie à se séparer. Les raisons : la cyclothymie des mouvements passionnels, les parents et les beaux-parents, le travail et les collègues, les amis d'enfance, deux Polonais comme toujours, les cheveux et les dents, une longue histoire de cravate, la jalousie, et Schopenhauer bien sûr.
bon frantz 0/20. c’est un personnage réaliste en soit mais bon j’ai bcp aimé la fin, le fait que les enfants se rencontrent c’était très sympa c’est marrant quand même, dans ses livres je trouve que les femmes ont toujours un petit coté funky, entre celine qui sait lire à travers la manière dont les gens font les photocopies ou même dans le potentiel érotique de ma femme, que la sensualité de la femme venait de sa manière de laver les fenêtres. c’est un peu marrant
J’adore le style
Le narrateur, un homme ordinaire, rencontre Alice, une jeune femme vive, indépendante et imprévisible. Très vite, ils tombent amoureux. Leur histoire débute sous le signe de la passion, mais elle est aussi marquée par une instabilité émotionnelle profonde. Dès les premiers mois, leur relation est ponctuée de ruptures successives, souvent pour des raisons apparemment mineures, mais révélatrices de fragilités plus profondes. Le roman suit le fil de ces séparations. À chaque rupture, le narrateur tente de refaire sa vie. Il a d’autres relations, parfois longues, parfois douloureuses, mais aucune ne le comble réellement. Alice, elle aussi, suit son propre chemin, vivant des histoires, des aventures, parfois même des mariages. Pourtant, ils reviennent toujours l’un vers l’autre, comme attirés par une force irrésistible, un amour qui ne cesse de les hanter, mais qu’ils ne savent pas entretenir. À travers ce va-et-vient amoureux, Foenkinos dresse le portrait d’un homme qui aime trop ou mal, qui idéalise l’amour mais craint sa réalité. Il montre comment les gens peuvent se manquer, non pas par manque d’amour, mais par incapacité à le vivre pleinement. Chaque séparation devient alors une étape de maturité, une tentative pour comprendre ce qu’est l’amour véritable, sans jamais vraiment l’atteindre. Le récit est entrecoupé de réflexions sur la banalité du quotidien, les regrets, la solitude, et la mémoire affective. Le narrateur revient souvent sur ce qu’il aurait pu dire, ce qu’il aurait dû faire, nourrissant une forme de nostalgie permanente. Il ne cesse de chercher dans son passé les raisons de son incapacité à construire une histoire durable.
Super 🥰
-commencé le 09/02 -j'ai détesté Fritz mais j'ai adoré le livre -enfin j'ai détesté Fritz... disons que son cerveau est passionnant parce qu'il a une manière tres crue de parler des choses qui l'entourent -l'histoire est évidemment bien écrite mais je n'arrive pas à cerner l'auteur encore -il était sympa quand même à lire mais un peu triste, et Alice méritait mieux dès le depart
On suit le perso de Fritz Il est amoureux d'Alice, mais ils sont dans une relation compliquée. Ils viennent de deux monde différents (riche catho / gauche altermondialiste) Il travaille chez Larousse . Rencontre avec parents d'Alice chaotique. Rupture. A une aventure avec la DRH. Puis se remet avec Alice mais continue de fréquenter DRH. Met fin à ses adultères mais elle le révèle le jour du mariage avec Alice. C'est le drame Elle part Fritz s'enfuit en Bretagne avec un inconnu pour l'enterrement de son père Il finit par revenir à Paris Se marie avec une écrivaine rencontré en Bretagne Revoie Alice lors d'une rencontre pour leur ado qui tombent amoureux
Fritz et Alice vivent une histoire d’amour passionnée mais chaotique, marquée par des séparations et des retrouvailles successives. Malgré les années et les nouvelles relations, ils semblent incapables de s’oublier totalement. ➡️ Chute : Finalement, après une dernière séparation, ils réalisent qu’ils ne sont pas faits pour être ensemble, malgré leur attachement. La vie les éloigne définitivement, marquant la fin d’un amour qui aurait pu être, mais qui n’a jamais fonctionné.
J’ai adoré la plume de Foenkinos, très poétique avec de l’humour léger de temps à autre. Je me suis vite attachée aux personnages, je n’ai pas décroché du livre et l’ai fini en 1 journée. J’ai beaucoup aimé les références qui se retrouvent tout au long du récit, comme une sorte de fil rouge : les cravates, les dents, les Polonais…
s’amuser de ce qui serre le cœur