Résumé
La salle d'attente de Jean déborde de patients. Tous les jours, il entend des histoires. Parfois, il les lit directement sur le corps des malades. Il soigne, écoute, console. Mais lui ne pleure jamais. Ses larmes sont coincées dans sa gorge. Il ne sait plus comment pleurer depuis cette nuit où il lui a manqué six minutes. Où vont les larmes quand elles sèchent, roman phénomène, a déjà conquis plus de 100 000 lecteurs et lectrices.
Opinion du public
245 avis
6.9/10
Les avis sur ce livre révèlent une expérience émotionnelle forte, oscillant entre rires et larmes à travers les récits touchants d'un médecin confronté à ses propres émotions. Bien que le style soit parfois jugé décousu et l'écriture inégale, la profonde humanité et les anecdotes poignantes captivent de nombreux lecteurs. Certains critiques pointent cependant un manque de fil conducteur et une écriture parfois brouillonne.
👍 Émotionnellement captivant et humain.
👎 Style parfois décousu et inégal.
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Baptiste Beaulieu a un vrai talent pour rendre extraordinaires les vies ordinaires. Il donne de la dignité et de la poésie aux petites histoires du quotidien, aux patients qu’on croise tous les jours mais qu’on n’entend pas assez.
Je n’ai pas accroché et me suis arrêtée à la moitié du livre. Pas de rythme…
Un livre avec de l’humour dans lequel Baptiste se livre sur son parcours de médecin généraliste. Il y pointe du doigt la difficulté de la profession, les relations parfois attachantes avec les patients. Peut-être pour comprendre un peu mieux le professionnel qui vous reçoit en cabinet ?
Assez inégal, mais quelques beaux passages qui font que ça vaut le coup de le lire !
Août 2025
Livre plein d’émotion ! C’est l’histoire de Jean, un médecin généraliste qui se retrouve incapable de pleurer depuis qu’il a assisté au décès d’un enfant, drame qu’il perçoit comme très injuste. Il raconte dès lors de nombreux récits de patients, qui, aussi poignants et émouvants qu’ils soient, ne parviennent toujours pas à le faire pleurer, malgré la profondeur de ce qu’il ressent à leur égard. On alterne entre sourire et tristesse, le tout dans un style marrant et imagé. Il y a tout de même une fin au récit, que l’on ne voit pas trop venir.