
2024
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Meredith Hall
Résumé
Premier roman envoûtant, une exploration de la famille comme lieu d'apprentissage vers la rédemption. Lorsque Doris et Tup se rencontrent dans les années 1930, l'avenir ensemble leur apparaît comme une évidence. À tout juste dix-huit ans, Doris rejoint Tup dans la ferme laitière familiale du Maine. Là-bas, leurs journées suivent les rythmes de la terre, faites de joies simples, et bientôt animées par trois enfants : Sonny, l'aîné, qui fait de sa chambre un musée consacré aux insectes de la région ; Dodie, la cadette au cœur affirmé et généreux ; et le petit Beston, calme et dévoué. Un foyer qui semble être à l'abri des vicissitudes du monde. Jusqu'au jour où survient une tragédie terrible, qui ébranle les fondations familiales. Ce premier roman envoûtant explore les chemins de reconstruction d'une famille endeuillée. Dans ce récit qui se déploie sur presque vingt ans, Meredith Hall rend compte d'un quotidien fait de tourments personnels, mais aussi d'acceptation et d'espoir. Car, en dépit de tout, Plus grands que le monde est une histoire lumineuse, au style élégant, qui jette sur l'amour – filial, parental, fraternel – une lueur neuve.
L’histoire raconte la vie d’une famille remplie d’amour et travaillant dans une ferme. Malheureusement un événement tragique va ébranler tous les membres. Nous suivons les points de vue de Tup, le papa perdu dans ses responsabilités, Doris, la maman en dépression et Dodie, la fille qui tient tout sur ses épaules. Je me suis beaucoup attaché à Dodie, forte du haut de son jeune âge et sacrifiant ses rêves pour faire tenir la ferme et sa famille. Les passages peuvent être longs et manquent de dialogue. Mais l’on comprends aussi que le deuil se fait dans le temps, et chacun a son rythme. On en veut à Tup de son choix de vie et en même temps on le comprends. On voudrait secouer Doris pour la faire revivre et pourtant on la voit combattre ses démons internes. La famille est touchante, les passages sont très bien décrits. Il faut aimer que le livre prennent son temps pour panser les blessures.
Book club westchester- Caroline Imbert
Lorsque Doris et Tup se rencontrent dans les années 1930, l’avenir ensemble leur apparaît comme une évidence. À tout juste dix-huit ans, Doris rejoint Tup dans la ferme laitière familiale du Maine. Là-bas, leurs journées suivent les rythmes de la terre, faites de joies simples, et bientôt animées par trois enfants : Sonny, l’aîné, qui fait de sa chambre un musée consacré aux insectes de la région ; Dodie, la cadette au coeur affirmé et généreux ; et le petit Beston, calme et dévoué. Un foyer qui semble être à l’abri des vicissitudes du monde. Jusqu’au jour où survient une tragédie terrible (décès de leur fils Sonny), qui ébranle les fondations familiales. Ce premier roman envoûtant explore les chemins de reconstruction d’une famille endeuillée. Dans ce récit qui se déploie sur presque vingt ans, Meredith Hall rend compte d’un quotidien fait de tourments personnels, mais aussi d’acceptation et d’espoir. Car, en dépit de tout, Plus grands que le monde est une histoire lumineuse, au style élégant, qui jette sur l’amour – filial, parental, fraternel – une lueur neuve Roman qui alterne les points de vue : chacun leur tour, Tup, Doris et Dodie ont leur chapitre. Cela est particulièrement pertinent notamment pour un sujet comme celui ci. > Doris s’enferme à l’intérieur d’elle même, s’éloigne de sa famille et reste mutique > Tup ne supporte plus la situation et va donc trouver refuge auprès d’une autre femme > Dodie et Beston assiste à la perdition de leurs parents. Beston se réfugie dans la musique, Dodie dans sa vie d’adolescente. Beau roman, très poétique. Bcp de résilience. Temps qui passe qui apaise les tourments. Ils finiront par ressentir à nouveau de la gratitude dans ce que peut leur offrir le monde, notamment à l’arrivée de leur petit fils.
Une très belle et douloureuse histoire, merveilleusement racontée. L'histoire d'un jeune couple qui reprend la ferme des parents du jeune homme et qui fonde une famille. Leur vie de famille s'écoule paisiblement et joyeusement. Mais un jour la tragédie survient et nous suivons sur 20 années le long travail de deuil pour chacun d'entre eux. J'ai beaucoup aimé l'écriture de ce roman envoûtant. Le sujet évoqué est parfois difficile à supporter, mais il reste au final lumineux. Et je ne regrette absolument pas de l'avoir lu.
Lorsque Doris et Tup se rencontrent dans les années 1930, l’avenir ensemble leur apparaît comme une évidence. À tout juste dix-huit ans, Doris rejoint Tup dans la ferme laitière familiale du Maine. Là-bas, leurs journées suivent les rythmes de la terre, faites de joies simples, et bientôt animées par trois enfants : Sonny, l’aîné, qui fait de sa chambre un musée consacré aux insectes de la région ; Dodie, la cadette au coeur affirmé et généreux ; et le petit Beston, calme et dévoué. Un foyer qui semble être à l’abri des vicissitudes du monde. Jusqu’au jour où survient une tragédie terrible, qui ébranle les fondations familiales. Ce premier roman envoûtant explore les chemins de reconstruction d’une famille endeuillée. Dans ce récit qui se déploie sur presque vingt ans, Meredith Hall rend compte d’un quotidien fait de tourments personnels, mais aussi d’acceptation et d’espoir. Car, en dépit de tout, Plus grands que le monde est une histoire lumineuse, au style élégant, qui jette sur l’amour – filial, parental, fraternel – une lueur neuve.
Très belle histoire Beaucoup d amour Bien écrit
Deuil d un enfant qui entraîne une petite mort de la famille...(ferme) mais resurection familiale Histoire de la famille vue par les enfants et les parents.. Beaucoup aime À lire
Poétique et triste
… voir résumé ci après. Pour moi c’est l’histoire d’un couple modèle, propriétaires d’une ferme hérité des parents et très bien entretenue. À La suite du décès d’un des fils, le couple s’auto déchire. La femme s’enferme dans le mutisme et l’homme homme cherche un peu d’amour dans un autre foyer sans pour autant abandonner sa famille. Amour humain amour de la terre amour filial tolérance exemplaire pardon mais aussi terrible sentiment de culpabilité de chaque personnage.