Résumé
Il y a 100 000 ans, la Terre était habitée par au moins six espèces différentes d'hominidés. Une seule a survécu. Nous, les Homo Sapiens. Comment notre espèce a-t-elle réussi à dominer la planète ? Pourquoi nos ancêtres ont-ils uni leurs forces pour créer villes et royaumes ? Comment en sommes-nous arrivés à créer les concepts de religion, de nation, de droits de l'homme ? À dépendre de l'argent, des livres et des lois ? À devenir esclaves de la bureaucratie, des horaires, de la consommation de masse ? Et à quoi ressemblera notre monde dans le millénaire à venir ? Véritable phénomène d'édition, traduit dans une trentaine de langues, Sapiens est un livre audacieux, érudit et provocateur. Professeur d'Histoire à l'Université hébraïque de Jérusalem, Yuval Noah Harari mêle l'Histoire à la Science pour remettre en cause tout ce que nous pensions savoir sur l'humanité : nos pensées, nos actes, notre héritage... et notre futur.
Recommandé par l'IA Memorizer
Avec « Sapiens », l’historien Yuval Noah Harari parcours 2,5 millions d’années d’histoire de l’humanité en 500 pages. Fascinant. Par Julie Clarini Le Monde 2,5 millions d’années au cours desquelles Homo sapiens est passé de la découverte du feu à la révolution agricole, des grands empires à l’essor de l’industrie… Comment ne pas être fasciné par l’échelle du récit, qui transforme chacun de nos siècles en tête d’épingle ? Jared Diamond, le fameux biologiste américain, auteur d’Effondrement (Gallimard, 2006), aurait appris à Yuval Noah Harari à « avoir une vision d’ensemble ». Ce jeune et brillant historien de l’université de Jérusalem se révèle, il faut le dire, un excellent élève. Si son livre relève de la « popular history », comme disent les Anglo-Saxons, d’une vulgarisation de bon niveau, et ne possède pas l’originalité des constructions intellectuelles de son maître, il est de ceux qui emportent le lecteur quelque part entre la science Frappante est la philosophie qui se dégage de cette fresque. Il faut de la résistance au sapiens du XXIe siècle pour ne pas sombrer dans le spleen le plus profond quand il contemple le destin de son espèce. Car « on n’a absolument aucune preuve que le bien-être des hommes s’améliore inévitablement au fil de l’histoire ». Même les révolutions sont tristes. Celle du néolithique, surtout, se révèle une sombre arnaque, elle qui a arraché l’homme à sa vie de chasseur-cueilleur pour en faire un paysan asservi aux champs et soumis aux aléas du climat. Plus accablant encore : sapiens est l’espèce « la plus meurtrière des annales de la biologie », pour avoir provoqué plusieurs vagues d’extinction animale et végétale, sans compter les « quelques squelettes dans le placard » (au moins six espèces d’hommes existaient sur Terre avant son triomphe). Dans la lunette d’Harari, sapiens a triste figure. Reflet des temps, sans doute.
Recommandé par Memorizer, car vous avez aimé 'Le monde sans fin'.
Interessant sur le fond, je trouve que la forme par contre n’est pas reussie, et vient meme parfois brouiller le propos
L histoire à commencé quand les hommes ont inventé les dieux.Elle s achèvera quand ils deviendront des dieux
L’histoire de l’homme et de son evolution en temps que societe dans la nature et le monde qu’il a creer de toute piece