
2020
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Margaret Rogerson
Résumé
Tous les sorciers sont maléfiques. Elisabeth, élevée au milieu des dangereux grimoires magiques d'une des Grandes Bibliothèques d'Austermeer, le sait depuis son plus jeune âge. D'ailleurs, peu de temps après le passage à la bibliothèque du sorcier Nathaniel Thorn, un des ouvrages se transforme en monstre de cuir et d'encre, semant mort et destruction. Et c'est Elisabeth qui se retrouve accusée de l'avoir libéré. Forcée de comparaître devant la justice à la capitale, elle se retrouve prise au cœur d'une conspiration vieille de plusieurs siècles. Bien malgré elle, elle n'a d'autre choix que de se tourner vers son ennemi Nathaniel, et son mystérieux serviteur, Silas. Car ce ne sont pas seulement les Grandes Bibliothèques qui sont en danger, mais le monde entier... et face à ce terrible complot, Elisabeth va devoir remettre en question tout ce qu'elle croyait jusqu'ici, y compris sur elle-même. « Sorcery of Thorns est un bijou ensorcelant... J'ai adoré chaque page de cette histoire. » - Stephanie Garber, autrice de Caraval « Une aventure captivante riche en personnages fascinants, une histoire d'amour passionnée qui se dévoile peu à peu, un univers dans lequel on a envie de se perdre. » - Kirkus Reviews
J'aime les Bibliothèques, j'aime Elizabeth, j'aime Nathaniel ! J'aime Silas
Livre vraiment tres surprenant qui est envoûtant dans son histoire de l’intrigué de la surprise de la romance un bon roman un peu long dans la description sur la fin du roman a mon goût mais sinon superbe je me suis plongée dans l’univers
Le genre de lectures dont Hani un peu honte mais que j’adore
J’en suis au début mais j’aimerais dire mon intérêt pour l’univers magique crée. Il reste plutôt basique dans ses manifestations mais la manière dont ses rouages, ses sources et ses portées sont expliquées est brillante. J’en suis très emballée. C’est tout à fait bien ciselé et pensé. J’adore. Edit : le lecteur est omniscient et suit donc les variations dans la mémoire et les émotions d’Elisabeth, perdue et manipulée par Silas. J’aime bien. Edit(bis) : j’en suis a plus de la moitié. J’ai trouvé Elisabeth très éteinte au début, un peu apathique comme si elle avait du mal à ressentir des émotions ou à se lier aux autres. Maintenant, un peu moins. Elle reste encore réservée, peut-être mesurée dans sa manière de ressentir (du moins c’est l’impression que je m’en fais) mais elle est aussi incroyablement perspicace, elle arrive à analyser presque instantanément les données d’une situation donnée et elle est dotée d’un instinct infaillible. Pour le moment, on ne sait pas encore ce qui la rend très spécial mais c’est intéressant de la voir découvrir et comprendre le monde et les différentes dynamiques qui le gouvernent et qui régissent les relations, réactions et émotions de ses citoyens. Sa cruauté, son injustice, spécialement envers une jeune fille qui n’agit pas comme on le voudrait, mais aussi des sentiments plus complexe comme l’attirance et l’amour. Elle est aussi très gentille et animée d’un grand sens de la justice. En ce sens, elle me rappellerait presque Harry Potter (de loin), et elle arrive à me faire apprécier un personnage principal féminin d’un livre de fantaisie, ce qui n’est pas rien. PS : je remarque qu’en ce moment, sur mes dernières lectures, j’ai beaucoup de mal à me lier aux personnages et à les aimer véritablement. Je trouve ça dommage et ça me fait peur. (Je crois que les derniers sont Luke, Tim et sa meuf dans L’institut - et peut-être un peu la famille dans Timeville.) [en vrai, un peu Rosa, Camillo, Ethan et co mais pas vraiment, genre oui un peu, mais pas comme j’aurais dû parce que j’éprouve un certain détachement et j’ai moyen l’habitude]. Enfin elle a pleuré, elle en avait besoin. Edit(ter) : je suis tellement déçue, elle a tout gâché en faisant Nathaniel bi. Oh, on est où là ? Je suis vraiment mortifiée, je veux pas. C’est nul. Alors même que je m’apprêtais à complimenter avec force de profusions ce livre. C’est nul, nul, nul. Bon, je vais tout de même le faire. La plume est très belle, trop lourde par moment, de mots et d’analogie (parfois un peu tiré par les cheveux), mais féerique et envoûtante tout de même. Tellement que je regrette ne pas posséder le livre (il est à la bibliothèque justement haha) parce que j’aurais aimé relevé plusieurs passages.Je suis fan de tous les détails de description donnés qui permettent une véritable plongée dans l’univers et son atmosphère. L’histoire, quant à elle, est brillante. Certes, simple avec une intrigue plutôt commune, mais dans un monde incroyablement bien développé et, je me répète, avec un système magique poussé et intelligent qui confère aux livres et grimoires une puissance magique exaltante pour tous les amoureux des bouquins et des bibliothèques (MOI). Les personnages sont bien écrits, attachants : j’aime leur petit groupe et j’aime leurs stratagèmes pour vaincre le mal. C’est très bon - mais comme le livre peut parfois être lourd, il me faut quelques pauses dans sa lecture. Je l’ai fini dans la nuit (ou le matin très tôt, ça dépend) et c’était trop bien. J’ai adoré. C’était vraiment bon. J’ai déjà dit beaucoup de choses donc je n’ai plus grand chose à ajouter si ce n’est que je me suis liée aux personnages et à leur monde, que je suis contente que ce dernier n’ait pas été détruit par l’Archonte et que j’ai très très envie de lire la petite nouvelle/sequel écrite par l’autrice. Ils se sont bien battus et les relations qui les lient sont incroyablement profondes, complexes et pures. Comment un démon peut aimer comme un fils son maître ? Comment a-t-il développé de l’affection pour une jeune fille sincère et bienveillante qui découvre le monde pour la première fois et comprend ses nuances et ses subtilités ? Le bien et le mal ne sont pas deux notions manichéennes qui s’opposent mais deux concepts intriqués l’un dans l’autre qui régissent chaque strate de la population, de leur société et du pouvoir que certains possèdent. Elisabeth nous a permis de voir les choses différemment. Et bon, on va pas se mentir, ils sont très mignons avec Nathaniel. Je suis contente et un peu triste de l’avoir fini.
Un joli livre (esthetiquement la version reliee est splendide) et une belle histoire: elisabeth a ete elevee dans une des grandes bibliotheques, remplie de grimoires vivants. Son but a toujours ete d’en devenir une gardienne, mais tout cela va etre mis a mal apres sa rencontre avec le magister thorns… Un jour la directrice est retrouvee morte et elle doit affronter un des grimoires… avant d’etre accuse de meurtre! L’histoire est bien ficele, la relation entre elisabeth et nathaniel est en trame de fond mais tres mignonne, leurs echanges amusants et la presence de silas, mysterieuse, donne egalement de savoureux dialogues. L’histoire est agréable a lire, et même si on découvre vite qui est derrière les sabotages, il faut attendre un peu pour comprendre pourquoi et comment… On accompagne elisabeth dsns sa quete de verite et la fin, bien qu’attendu, est une bonne fin qui laisse des opportunites de suite!
Un univers incroyable des le début. Un mélange de magie, de grimoire et de démons. L’éternel question du bien et du mal, dont on découvre les nuances selon les points de vue. Des personnages captivants, intriguant, impassible et mystérieux prouvant par leurs actes une force et une détermination infaillible. Je ne regrette pas la nuit blanche que j’ai passé pour dévorer ce livre.
C'était super bien. J'avoue que la fin par contre pas ouf je l'attendait pas à ce que le mec il perde ça magie. Et j'ai du relire la fin parce que j'avais pas cpris que le démon était mort. C'était pas très claire. Mais l'histoire d'amour ztait trop mimi. Ça c'est le gros point positif. L'autre point positif c'est que l'univers était super simpa avec les bibliothèques et la magie. C'est vraiment les choses qu3 j'aime. Aussi la fille était un peu badass. Elle était pas tout le temps en mode protégé moi mon homme. Non. Mais en même temps elle était une peut comme ça donc mitigé.
Beaucoup aime
L’écriture de Margaret Rogerson est vraiment incroyable, qui de mieux qu’une femme pour rendre un personnage féminin intéressant ? J’aime énormément la personnification des grimoires, chaque grimoire a son histoire, son caractère tiré de son contenu. Je n’ai jamais lu car on m’en avait dégoûté petite à cause de ma dyslexie mais ce livre m’a appris à aimer lire et rêver !