
2019
•
Drame / Romance
•
1h59
Résumé
Lorsque son premier grand amour disparaît du jour au lendemain, Asako est abasourdie et quitte Osaka pour changer de vie. Deux ans plus tard à Tokyo, elle tombe de nouveau amoureuse et s’apprête à se marier... à un homme qui ressemble trait pour trait à son premier amant évanoui.
J'ai pas du tout aimé ce film, déjà il mérite pas de durer 2h à la limite 1h30 ça aurait été mieux. Bon je risque de spoil mais pour expliquer pourquoi j'ai pas aimé. Alors déjà Asako rencontre un mec qui s'appelle Baku, bon c'est mignon ils sortent ensemble SAUF QUE Baku disparaît du jour au lendemain. Asako déménage à Tokyo, quelques années plus tard elle rencontre un homme qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Baku, ils sortent ensemble et habitent même ensemble. 5 ans plus tard ce trou du cu de Baku revient comme si de rien ne s'était passer. Bien sûr quand il propose à Asako de venir avec lui ELLE ACCEPTE COMME UNE CONNE. Et après elle espère que Ryoshei (l'homme avec qui elle est en couple depuis 5 ans) lui pardonne haha. BIEN SUR QUE NON IL VA PAS TE PARDONNER.
#cléusb #Asie #Japon
Drame • (1h59) • 2019 • Japon • Réalisé par Ryûsuke Hamaguchi • avec Masahiro Higashide, Erika Karata, Kôji Seto, Sairi Itô. La jeune Asako est éperdument éprise de Baku, un jeune homme imprévisible, fantasque et poétique, et très beau. Un jour, il disparaît laissant Asako désespérée. Fuyant Osaka, la ville du drame, la jeune femme tente de s'en remettre et se reconstruit tant bien que mal à Tokyo, où elle finit par rencontrer un garçon qui ressemble trait pour trait à Baku. D'abord effrayée et incrédule, elle s'abandonne à cette attirance (partagée), et s'installe avec le sosie du disparu. Asako voudrait lui dire la vérité mais ne veut pas perdre ce nouvel amour inespéré... ➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿➿ À Osaka, la jeune Asako fréquente et aime un garçon de son âge, Baku, poétique et imprévisible au point de disparaître un jour sans laisser le moindre indice. Fuyant la région du drame, l’héroïne se reconstruit tant bien que mal à Tokyo, où elle finit par rencontrer le troublant sosie de Baku, en plus sage : sous le costume du jeune cadre et la coupe de cheveux standard, c’est le même visage, le même corps. D’abord effrayée, Asako s’abandonne à cette attirance… Bien qu’adapté d’un roman japonais, le film a tout d’une variation inventive sur l’inépuisable Vertigo (Sueurs froides), d’Alfred Hitchcock, où Scottie (James Stewart) entamait une liaison avec Judy (Kim Novak), improbable jumelle de Madeleine, son grand amour perdu. Dans les deux cas, on passe d’un être paré de mille vertus, peut-être trop parfait pour être vrai, à un(e) remplaçant(e) identique physiquement, mais sans l’aura de l’absent(e). Pourtant, des sentiments forts naissent dans cet écart. Le quotidien partagé engendre des liens et du désir. Hamaguchi, l’auteur de Drive My Car, offre ainsi une fine réflexion sur l’empreinte laissée par une passion amoureuse et le passage à une relation plus durable. Il suggère aussi que la rationalité (conjugale, sociale) est précaire, friable, prête à exploser à tout moment ; que les sentiments sont réversibles, et les identités, volatiles. En ce sens, même le titre du film est une belle trouvaille, qui laisse croire que l’héroïne a également son double. TÉLÉRAMA • Critique par Louis Guichard • Publié le 14/06/2022.
À regarder sur Arte
Vu chez azadée en dvd T’es beau film, Hamaguchi <3 Le personnage est peut être attachant, il en résulte pas moins que les choix qu’elle fait sont illogiques et stupides. On voit des scènes entre amis, tranquilles et sensibles.