
1999
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Horreur / Suspense
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1h37
Résumé
Une conceptrice de jeux pourchassée par des assassins doit tester son dernier jeu de réalité virtuelle avec un stagiaire en marketing pour déterminer si le jeu a été endommagé.
Que serait un film des années 90/2000 sans du racisme ? Ils peuvent pas s’en empêcher c’est dingue. "— Tu as compris, serveur chinois?" Le plot rattrape tout ce qui est bidon dans le film mais c’est long hein et les sous entendus sexuels mettent mal à l’aise. Par contre, déçu que finalement la nerd créatrice d’un jeu international soit pas elle mais un mec au pif. Bref
Fiche technique Genres : Épouvante-Horreur, Science-fiction, Thriller Groupe : Existenz Année : 1999 Pays d'origine : Canada, Royaume-Uni Durée : 1 h 37 min Date de sortie (Canada, Royaume-Uni) : 14 avril 1999 Date de sortie (France) : 14 avril 1999 Réalisateur : David Cronenberg Scénariste : David Cronenberg Producteurs : David Cronenberg, Bradley Adams, Damon Bryant, Michael MacDonald, Sandra Tucker, Robert Lantos, Andras Hamori Distributeur : UFD Bande originale : eXistenZ Synopsis : Dans un avenir proche, une créatrice de génie, Allegra Geller, a inventé une nouvelle génération de jeu qui se connecte directement au systeme nerveux : eXistenZ. Lors de la séance de présentation du jeu, un fanatique cherche à la tuer. Un jeune stagiaire en marketing, Ted Pikul, sauve la vie d'Allegra. Une poursuite effrenée s'engage autant dans la réalité que dans l'univers trouble et mysterieux du jeu.
Top !
Fin réel ?
Trop confus mais délicieusement immonde.
C'est bizarre mais y'a un délire, et la fin est pas si mal
That was weird, and by weird I mean very weird. Like I tried to understand and, I did. But that wasn’t a mind blowing experience as I expected. But, I can’t say I didn’t like watching the movie. It’s just that I can’t say I enjoyed it.
eXistenZ c’était un peu la VR d’aujourd’hui en plus.. bordélique. Dans le jeu, pas dans le jeu, remarque on sait où Inception a (un peu) puisé son inspiration. Mais où ça nous mène ? Qu’est c’que ça raconte / dénonce vraiment ? La démocratisation des jeux vidéos et l’émergence de la violence qui en résulte dans les années 90 peut-être, savoir dissocier le virtuel de la réalité. J’aurais sûrement trouvé ça avant-gardiste à l’époque mais en 2023, en le re visionnant.. pas accroché plus que ça. Saluons quand même l’univers et l’originalité du scénario A noter : Cronenberg doit avoir une obsession pour le mot « pod », qu’il utilise également dans La Mouche ahah
Bon film de SF. On s’attend un peu au dénouement et c’est dommage mais l’ensemble est bien réalisé et questionne sur le virtuel, les limites, la difficulté à savoir quand on en sort… les pods permettant « d’entrer » dans le jeu sont des espèces de fœtus d’animaux transgéniques. On retrouve le goût de Cronenberg pour la chimère, la greffe réel/virtuel. L’autre monde est batard. À la fin on retrouve un système de matériel pour entrer dans le jeu plus réaliste, proche de celui utilisé dans Strange Days.