7.5/10
1988
•
Biographie / Comédie
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2h01
Résumé
Un nouveau disc jockey est envoyé au Vietnam pour animer la radio des forces armées et distraire les soldats. Son ton frais et irrévérencieux le rend vite populaire auprès des militaires.
Opinion du public
420 avis
7.5/10
7.3/10
Les avis soulignent la performance exceptionnelle de Robin Williams dans 'Good Morning Vietnam', capturant l'essence d'un animateur radio dynamique et plein d'humour en pleine guerre du Vietnam. Le film mélange comédie et drame avec une touche de critique sociale, offrant à la fois divertissement et réflexion. Malgré quelques critiques sur des longueurs et des jeux de mots parfois difficiles à saisir, le film reste un classique apprécié pour son approche originale et son casting talentueux.
👍 Robin Williams, brillant et touchant.
👎 Certaines blagues peuvent être difficiles à comprendre.
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Good
8.4/10
encore un classique de robin williams mais à revoir parce que blagues pas simples à saisir
Recommendé par l'IA Memorizer
De Barry Levinson. 1987. Bien réalisé, très rythmé même si la fin est trop longue. Un Robin Williams animateur radio humoriste engagé à Saigon pour remonter le moral des GI survolté mais crédible. On perd pas mal des jeux de mots bien sur avec la traduction. Mais bien pensance américaine : il tombe amoureux d’une jeune vietnamienne et devient ami avec son frère… Telerama Saigon, 1965. Adrian Cronauer, nouvel animateur de la radio des forces armées américaines, devient la coqueluche et le soutien des GI grâce à son humour corrosif, ses imitations de Nixon et ses programmes musicaux swinguant à mort. Pendant qu’il se lie avec des Vietnamiens, de plus en plus de contingents partent au casse-pipe. En 1965, le président Johnson augmenta le nombre de soldats envoyés au « Nam » de 75 000 à 400 000. L’originalité de Levinson est de se placer au début du conflit et d’en radiographier l’enlisement à travers le micro d’un clown sensible à l’« ennemi » (Robin Williams, roi de l’impro mais, attention, son comique est très américano-américain). Malgré quelques lourdeurs de scénario, Levinson retrouve le charme de Diner et de Tin Men, ses peintures subtiles des années 1960. Il mêle les images de rizières venteuses, de marchés et de rues grouillantes de Saigon à celles des jeunes soldats, comme en vacances, torse nu, allongés sur leurs jeeps, avec les Martha and The Vandellas et James Brown dans les haut-parleurs. Un portrait « délocalisé » de l’insouciance américaine, d’une jeunesse bientôt sacrifiée, au son du beau et gros mensonge de Louis Armstrong, What a Wonderful World …
Un des meilleurs films sur la guerre