
2022
•
Drame / Téléfilm
•
1h30
Résumé
Juliette découvre que son fils adolescent, qu’elle croyait épanoui, est en réalité miné par un profond mal-être et qu’il est entré dans une dangereuse dépendance aux médicaments. Déterminée à le sortir de son addiction mortifère, portée par son amour inconditionnel, elle s’engage alors dans un long et douloureux combat, aux côtés de son enfant, sans jamais renoncer à le sauver.
Maman, ne me laisse pas m’endormir J’ai trouvé ça vraiment pas mal, pour le coup. Je trouve que parce que ça n’était pas écrit par Sylvie Testud, cela avait un peu plus de sens, de fluidité et de logique. Le thème n’est aussi pas le même que son premier : on est carrément sur un drame. Le point commun en revanche, c’est qu’encore une fois, les acteurs soient très bien dirigés et nous parlent très bien. Il a peu être un chouia long mais franchement pas de beaucoup. La vraie découverte pour le coup, c’est le personnage principal, le fils de Emmanuelle Bercot : Nemo Schiffman. Un vrai petit bonbon. Gérard Lanvin et Michael Youn font des bonnes apparitions et sont très bons. On y voit donc l’histoire d’un adolescent qui est addict aux médicaments et qui se drogue avec. Ses parents vont l’aider et en particulier, son père qui est un ancien addict. Ils vont passer beaucoup de temps en centre de désintoxificiation mais finalement, prendra une dose trop forte une nuit en en mourra. On y voit tout d’abord les dommages de la drogue tout court et puis de son évolution et accessibilité dans le temps et en particulier pour les jeunes. On y voit des parents présents, plus ou moins, qui essaient de l’aider et qui y arrivent mais finalement pas assez. Pour le coup, c’est un film très bien réussi et dur.