Summary
Analyse : Roman psychologique (intime).
Il sera intéressant de le relire dans plusieurs années pour mieux comprendre le message
Il est assez étrange, j'arrivais à comprendre mais en même temps celà resté pour moi un mystère ce "Meursault" ce pendant celà me fait bcp réfléchir sur ma vingtaine.
Très bon livre.
En 3 mots : Dénaturé. Étouffant. Déroutant. Et cette lecture à suivie celle du Comte de Monte-Cristo de Dumas. Autant vous dire que la transition fut assez brutale. La transition invite à la comparaison et ma préférence va sans hésiter pour la richesse, l’âme, l’élégance de l’œuvre de Dumas. Avant L’étranger, les seuls écrits de Camus que j’avais lus étaient des essais Noces et L’été. Et j’ai beaucoup apprécié son style d’écriture, un peu moins sa philosophie. Et dans ce roman sa poésie était un peu mise de côté pour faire place à la narration. Or, l’histoire illustre bien la philosophie de Camus. L’absurde, en soit. Ça ne me séduit pas, mais ça me fait sortir de ma zone de confort, tout en découvrant un personnage avec une psychologie intéressante. C’est presque amusant de le voir à la fois détaché de toute émotion mais de le voir s’accrocher à la vie. Je me suis fait plusieurs hypothèses, d’abord qu’il était autiste, puis je me suis dit que non c’était un sociopathe. Mais qu’importe bon sang ! On veut toujours tout nommer de nos jours. J’ai donc finalement apprécié de me laisser aller par la singularité glaçante de ce personnage. Je dois avouer que malgré un genre que je n’affectionne pas particulièrement, certaines scènes et phrases m’ont marqué. Notamment la fin parée de puissance.
Classique
Bof