Anthony Ramos rated 5/10
Après avoir appris la sortie prochaine de 28 ans plus tard, l’une de mes plus grosses attentes de l’année, je me devais de (re)découvrir les deux premiers volets. Je me suis donc lancé pour la première fois dans le visionnage du premier film, dont j’avais vu passer un nombre incalculable d’éloges sur sa qualité générale. Très sincèrement, j’ai passé un bon moment, mais je suis obligé de me contenter de la moyenne pour celui-ci. J’ai apprécié la représentation assez sombre des relations humaines en temps de crise, avec cette manière de montrer les différentes formes d’organisation et les visions à long terme de certains personnages. Le début est également très réussi : il pose efficacement les bases, avec des protagonistes simples mais plutôt attachants. D’ailleurs, l’ambiance m’a pas mal rappelé la première saison de The Walking Dead, ce qui n’est pas pour me déplaire. Malheureusement, à partir de la moitié du film, j’ai commencé à décrocher. Les événements deviennent trop mous, voire ennuyeux, et la dernière demi-heure, cette espèce de chasse à l’homme ne m’a pas convaincu du tout. Le parti pris final n’est pas particulièrement original et le dénouement m’a laissé sur ma faim, un peu trop frustrant à mon goût. Bref, un film qui a ses qualités mais qui, selon moi, reste assez inégal. Ce sera donc la moyenne pour moi !
Summary
Four weeks after a mysterious, incurable virus spreads throughout the UK, a handful of survivors try to find sanctuary.
Je m’attendais à un film de zombie classique, ne connaissant pas la saga. Ce film m’a surprise mais dans le bon sens, on passe par pleins d’émotions. J’ai kiffé
Sympa mais assez plat. L’histoire commence jamais vraiment, le film n’est approfondi sur aucune point, que ce soit sur les personnages ou sur l’histoire globale. La direction artistique est vraiment banale. Donc bon ok tier mais pas plus.
Film d’horreur • de Danny Boyle • 2003 • 1h53 • Scénariste Alex Garland • Grande-Bretagne - Espagne - Etats-Unis • avec Cillian Murphy, Naomie Harris, Brendan Gleeson, Megan Burns. Dans un futur très proche en Angleterre, un commando de militants pour la protection animale pénètre par effraction dans un laboratoire afin de libérer des chimpanzés, dont ils savent qu'ils sont soumis à d'atroces expériences médicales. Mais les singes semblent animés d'une agressivité incontrôlable. Aussitôt libérés, ils massacrent leurs sauveurs et leur transmettent un virus. Vingt-huit jours plus tard, le mystérieux mal s'est répandu à travers tout le pays, décimant peu à peu la population. Seule une partie d'entre elle est parvenue à échapper à la terrible épidémie. Les rares personnes encore saines se cachent, poursuivies par leurs congénères contaminés, assoiffés de violence... ▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️ D'inconséquents écolos anglais ont libéré des singes sur lesquels un labo testait un virus mutant. Vingt-huit jours et des milliers de morts plus tard, il ne reste que quelques humains encore sains, menacés par les monstrueux contaminés, qui mordent et vomissent du sang. Beurk ! À part quelques images inédites de Londres vide, Danny Boyle (trainspotting) n'a à proposer qu'une vision gore de l'apocalypse. Son chaos est une dérive complaisante, qui s'éternise dans un camp militaire où deux femmes rescapées doivent devenir des reproductrices au nom de la survie de l'espèce. Un massacre les sauvera. Carrément crade. TÉLÉRAMA • Par Frédéric STRAUSS • Publié le 31 mai 2003.
Bien mais pas le film d’une vie
Scénario : 4/10 Mise en scène : 2/10 Jeu des acteurs : 2/10 Décor et costumes : 3/10 Bande son: /10 Humour : /
Attached to character I liked both half of the movie Showing that even middle of a zombie apocalypse, men are the most threatening was genius imo