Girl, Interrupted

Girlhood in the psychyard

Des interprétations absolument remarquables, profondes et authentiques de la part de chacune des actrices, et particulièrement Angelina Joly dans le rôle de Lisa. Un film qui aborde les thèmes de la santé mentale (sans doute l’un des premiers à parler du trouble borderline, avec le peu de connaissances de l'époque), de sonorité, d’amitié.. Un très beau film signé James Mangold, inspiré de l’expérience de Susanna

J'ai adoré avec Winona Ryder et Angeline Jolie. Quand Suzanna tente de se suicider elle est amenée à l'hôpital psychiatrique où elle évolue parmis d'autres jeunes filles qui ont des troubles comme elle. Suzanne consigne tout dans son carnet. J'aime comment elle dépeint le fonctionnement des autres mais lorsqu'elle le lit à la fin du film, toutes les personnes sur qui elle a écrit semble dégoutées et la détester. On voit que en vrai on a tous nos modes de fonctionnements avec leur failles qui lorsqu'elles sont révélées au grand jour semblent pathétique. En réalité quand on accentue les traits de chacun, tout le monde semble pathétique. Suzanna part en road trip avec Lisa qui est sociopathe. Elles crèchent chez Daisy, Lisa la pousse littéralement à bout en disant que son père a des désirs incestueux à son égard. Le lendemain, la musique it's the end of the world tourne sur le vinyle. Daisy s'est suicidée. Après la mort de Daisy Suzanna admet qu'il est difficile de fantasmer sur la mort après l'avoir vue

"Girl, interrupted" Un peu déçu qu'on ait pas + à la fin, je les voyais bien vivre une histoire d'amour hyper compliquée et passionnelle et au final il ne s'est pas passé grand chose. Le film est quand même vraiment bien, il fait vraiment réfléchir.

flûte

À une certaine période de ma vie ce film m’aurait aidé. Incroyable