2022
•
Drama
•
2h06
Summary
The youngest son in a traditional Pakistani family takes a job as a backup dancer in a Bollywood-style burlesque, and he quickly becomes infatuated with the strong-willed trans woman who runs the show.
Public Opinion
298 reviews
7.8/10
7.6/10
Joyland has captivated audiences with its bold exploration of societal norms and personal desires in a traditional Pakistani setting. Viewers have praised the film's intelligent direction, stunning cinematography, and the poignant portrayal of complex characters caught between tradition and freedom. The film's handling of sensitive themes such as gender identity and patriarchy has been noted as both respectful and thought-provoking, although some found the pacing slow and the narrative occasionally heavy.
👍 Brilliant portrayal of complex social issues.
👎 Some may find the pacing slow.
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Interessant mais trop de longueurs se passe au Pakistan
De Saim Sadiq. 2022. Pas réjouissant pour ce qui est de la condition de la femme au Pakistan! Touchant et non manichéen. Telerama : Ce film tourné à Lahore est une surprise parfaite. Le réalisateur, débutant doué, a imaginé une chronique familiale qui parle courageusement de sentiments et de sexe, de différences et de normes qui voudraient s’imposer jusque dans l’intimité. Le point de départ est un retournement de situation d’une savoureuse ironie… Pendant que sa femme travaille, le jeune Haider s’occupe des enfants de son frère et de la maison où tout le monde vit, sous l’autorité du grand-père, pour qui il est urgent de revenir à la bonne distribution des rôles. Mumtaz, l’épouse, doit donc abandonner son travail et, parce qu’il lui faut en trouver un, Haider s’improvise danseur. Il tombe alors amoureux de la chanteuse Biba, une transsexuelle. Avec ce ménage à trois pakistanais jamais classique, Joyland s’ouvre à des notes joyeuses ou dramatiques, accueille la fantaisie mais aussi, peu à peu, une tension terrible. Haider, Mumtaz et Biba deviennent des personnages poignants dont la solitude est regardée en face. Chacun se retrouve, en effet, abandonné à des désirs impossibles, assigné par une société patriarcale à une place faussée. Haider doit être l’homme viril, Mumtaz, la recluse qui procrée, et Biba rester une « curiosité », jamais considérée comme une vraie femme. Et tous doivent renoncer à leurs désirs. À travers ces portraits retentit un appel à la liberté, à la vérité, à la sensibilité. Trois mots que ce film superbement mis en scène porte haut.
Home. L’histoire d’une attirance pour une femme trans. Un couple atypique, l’homme danse pour gagner sa vie. La jeune femme s’arrête de travailler. L’histoire d’une émancipation stoppée. Fin tragique.
Saim Sadiq (2022)
Film simple sur un père danseur dans un cabaret pour gagner sa vie et tombe amoureux.
Vu avec Margaux