8.6/10
1969
•
Western
•
2h45
Summary
A mysterious stranger with a harmonica joins forces with a notorious desperado to protect a beautiful widow from a ruthless assassin working for the railroad.
Alors ce film... Il est très important pour la culture cinématographique je ne regrette pas de l'avoir vue. Cependant il est très long, les scènes sont longues et j' ai pas tout de suite compris l'histoire. Mais les musiques sont magnifiques pas incroyable mais vraiment bien, c'est super bein filmé pour les années 60, les décors sont beaux la qualité de la caméra aussi. Le scénario quand on le comprend est pas mal non plus mais pas incroyable ce qui vaut le 7. Je m'attendais a mieux j'avoue mais le vrai point négatif c'est que c'est hyper long mais bon je suis contente de l'avoir vu en plus au cinéma. Il était une fois dans l’Ouest de Sergio Leone (1968) : Résumé du film Le film s’ouvre dans l’Ouest américain en pleine expansion, marqué par la construction du chemin de fer. Un mystérieux joueur d’harmonica, surnommé l’Harmonica (Charles Bronson), poursuit un but secret : il traque Frank (Henry Fonda), un tueur impitoyable engagé pour protéger les intérêts du chemin de fer. Frank est chargé de s’emparer des terres de Brett McBain, un fermier irlandais, car elles se trouvent sur un emplacement stratégique pour l’arrivée du train. Mais Frank et ses hommes massacrent McBain et ses enfants pour forcer la veuve, Jill McBain (Claudia Cardinale), à céder la propriété. Jill, ancienne prostituée venue de la Nouvelle-Orléans pour refaire sa vie, devient malgré elle la clé de cet affrontement. Elle trouve deux alliés inattendus : Cheyenne (Jason Robards), un hors-la-loi accusé à tort du massacre, au cœur plus noble qu’il n’y paraît. L’Harmonica, énigmatique, dont la seule motivation est de se venger de Frank pour une blessure profonde de son passé. Peu à peu, les alliances se font et se défont autour de Jill, du chemin de fer et de la violence de l’Ouest. Le film culmine dans un duel final entre l’Harmonica et Frank, où l’on découvre enfin le passé tragique qui unit les deux hommes : Frank avait jadis tué son frère sous les yeux de l’Harmonica enfant, lui laissant cette obsession de vengeance. À la fin, Jill décide de rester sur ses terres pour bâtir une nouvelle ville autour du train, tandis que l’Harmonica et Cheyenne disparaissent, emportant avec eux l’ancien monde des hors-la-loi. En bref C’est un western crépusculaire, où Sergio Leone montre la fin d’une époque (celle des bandits et des pistoleros) et la naissance d’une autre (celle de la civilisation apportée par le chemin de fer). Le film est célèbre pour : Ses plans très longs et silencieux qui créent une tension extrême, La musique inoubliable d’Ennio Morricone, La réinvention des codes du western classique en une fresque lyrique et sombre.
On ressent le classique, les scènes de tension épiques etc Mais il reste trop lent et long à mon goût.
Musique ! L homme a l harmonica…etc… Légendaire
Chef d’œuvre absolu ! Le plus grand western !!!!
Alors j’ai eu la chance de voir ce film au cinéma et ça valait quand même sacrément le coup ! En terme de musique aussi (qui est j’avoue exceptionnelle). Je vais être un peu critique vis-à-vis de ce film car quand on est considérée comme un chef d’oeuvre, il faut être irréprochable mais commençons d’abord par le bon. Je pense qu’en fait Sergio Leone est un excellent réalisateur (mais pour qui me prends-je ?) : les scènes sont juste absolument formidables, les comédiens dirigés comme des chefs, les couleurs sont ouf. Il y a cette ambiance typique des western américain que l’on retrouve par exemple chez John Ford avec ces clefs : la prostituée, les méchants seuls et sauvages, la grande Amérique sauvage qui se fait conquérir par les rails de train, les petits villages, les chevaux bien sûr (je bave). Celui-ci a été filmé en Espagne mais c’est impeccablement bien refait. Je pense que la scène qui me marquera le plus, c’est la scène du début : sans aucun son (ou presque), sans aucune parole, avec une caméra qui joue avec le dedans et le dehors, qui ne dit rien mais qui dit tout de la suite du film, on a tout. Une autre me vient quand même en tête, c’est la re contre de cette dame dans un bar avec le reste des truands, des méchants. C’est parfait. Mais la critique j’ai à faire concerne le scénario et d’ailleurs ce n’est pas si « surprenant » que cela. Je m’explique : il nous a été dit que le scénario a d’abord été écrit entre Sergio Leone et un autre scénariste (je crois Dario Argento mais je ne suis pas sûre) qui écrivaient chacun une scène pour la faire deviner à l’autre (inspiration à chaque fois de western). Et encore une fois, je crois que cela a été Sergio Donati qui a été chargé de faire une histoire logique de fin en liant les différentes scènes. Bon, c’est un peu ce que j’ai ressenti … beaucoup de choses, notamment des intentions de personnages qui n’ont pas été finies. Exemple : pourquoi Claudia Cardinale qui devait être tuée par Henry Fonda alors qu’il couchait ensemble ne l’est finalement pas ? Cela aurait bien arrangé Henry Fonda quand même … Pourquoi Jason Robards est-il finalement trahi par Charles Bronson et traité comme un second ? On comprend pas pourquoi finalement leur relation évolue comme cela … Enfin, je sais pas, les intentions des personnages, leur revirement de personnalité ne sont pas très tenus et et c’est dommage. Ce film aurait réellement été un chef d’oeuvre lol
Cinémathèque française Sergio Leone Italie / 1968 / 164 min / DCP / VOSTF D'après une histoire originale de Bernardo Bertolucci, Dario Argento et Sergio Leone. Avec Henry Fonda, Claudia Cardinale, Charles Bronson, Jason Robards. Aux dernières lueurs de l'Ouest sauvage, Leone réinvente magistralement le western dans un torrent d'images à la structure opératique, qui voit la disparition des mythes fondateurs. Sur l'inoubliable bande-son d'Ennio Morricone se dessine le bouleversant requiem d'un monde en mouvement, d'une nature forcée à s'éclipser face au progrès. Un chef-d'œuvre indémodable.