Sentimental Value

Beau film, de belles émotions et relations subtiles incarnées par d'excellents comédiens.

Dommage qu’on ne sorte jamais de la maison. Relations caricaturales entre les personnages (père-fille, sœurs). Fin faussement émotionnelle

Agnès et Nora voient leur père débarquer après de longues années d'absence. Réalisateur de renom, il propose à Nora, comédienne de théâtre, de jouer dans son prochain film, mais celle-ci refuse avec défiance. Il propose alors son rôle à une jeune star hollywoodienne, ravivant les braises de souvenirs de famille douloureux.

Film qui parle du pardon au sein d une famille. Les acteurs jouent bien

Personnage du père peu crédible et crispant mais bon film dans l’ensemble

Valeur sentimentale  Une histoire de famille, de maison dans laquelle ils ont tous vécu… Joachim Trier sait sans doute de quoi il parle et ça se ressent. Il met beaucoup de sensibilité et d’émotion dans ces portraits qui n’ont rien de banals. Pas mal de nostalgie aussi dans la description de ces relations souvent à fleur de peau, ces non dits familiaux où tout passe par les regards C’est toujours assez réfléchi, plutôt lent mais les mots sonnent justes et authentiques. Quant aux acteurs, on est gâtés: Un vrai bon film que j’ai eu beaucoup de plaisir à voir.

J’adore un film parfait

UGC Illimité. J’ai adoré. Brillant, on reconnaît un excellent film dès ses premiers plans et celui-ci n’a pas loupé. Une réalisation saisissante avec un montage parfois très brusque, espacé de noir, qui donne du relief au récit et nous permet de plonger dans l’état d’esprit des personnages. De très jolis décors, une mise en abîme, presque triple, qui donne l’impression que les acteurs jouent deux fois la comédie, on a presque tendance à oublier que leur premier personnage n’est pas leur véritable état. Le cast fait d’ailleurs un travail d’interprétation remarquable, même les rôles les plus secondaires. Le film passe habilement d’un récit sur un père absent, à une comédienne déprimée, à une connexion puissante entre deux sœurs et sans jamais nous submerger, sans jamais expliciter les raisons de leurs état, leur passé, sans imposer une vérité. Et la maison, personnage à part entière certes, sert de relais à toutes ces générations qui se succèdent dans une finesse extrême. J’ai été beaucoup émue, je ne pouvais m’empêcher de penser à mon propre père. Un chef d’œuvre. P.S. : j’ai détesté le personnage joué par Elle Fanning, elle servait à rien en plus. Renate m’a, en revanche, subjuguée.

Ca va j’ai bien aimé comment c’était filmé et les acteurs mais ça m’a pas trop touché j’ai trouvé la réaction de la fille face au père exagérée trop mélancolique même si après ça pose le truc pour la fin où elle est émue que son père la connaisse si bien alors que tout le film tourne autour de son absence On comprends donc qu’il n’arrive pas à communiquer autrement que par son art En fait j’ai pas trouvé de la profondeur dans leur relation, je n’ai pas trouvé ça abouti Gustav grand réalisateur en fin de carrière et père de Nora et Agnès refait surface dans leur vie après le décès de leur mère de laquelle il était séparé Il propose un rôle à Nora en disant qu’il l’a écrit pour elle Sauf qu’elle se braque car son père a tjs été absent etc Nora est collégienne sujette aux angoisse et à la dépression Au final grâce à sa sœur Nora voit que son père l’a connaît bien Le coup des problèmes médicaux du père c’était de trop, trop obvious quoi pour montrer que le temps passe mais genre elle lit le scripte il est à l’hôpital puis tout va mieux entre eux et Nora joue dans son film