Summary
The events of one evening take an unexpected turn for the worst for a young boy trying to spy on his babysitter.
« -Je te laisse partir devant ? -C’est pas juste, tu es quater-back » Dans The Babysitter, McG nous plonge dans le quotidien de Cole, un gamin de 12 ans qui a peur de tout et qui, forcément, n’est pas le plus populaire de l’école. Ses parents, loin de l’aider à s’affirmer, continuent à l’infantiliser, allant jusqu’à le faire garder par Bee, une babysitter aussi charismatique que sexy, les soirs où ils partent s’offrir une escapade à l’hôtel. Bee, c’est la baby-sitter parfaite : cool, bienveillante, drôle, la seule à traiter Cole comme un égal. Évidemment, il en pince pour elle. Mais sur les conseils de sa meilleure amie, Cole décide un soir de vérifier ce que fait Bee une fois qu’il est couché. Mauvaise idée : il découvre que la jeune femme est en réalité à la tête d’une secte satanique, prête à sacrifier son innocence lors d’une messe noire. The Babysitters est un condensé de l'horreur des années 80-90 le temps d'une heure et demie de visionnage. Le film aussi a un côté Home Alone avec Cole qui doit se défendre dans sa maison. Mais s’il tire son inspiration de l’horreur, il n’est en réalité qu’une comédie horrifique complètement barrée qui assume à fond ses excès et ses archétypes. On y retrouve toute la galerie de clichés du teen-movie et du slasher : le quarterback beau gosse toujours torse nu, la Cherleader stupide aux gros seins, le black rigolo avec ses répliques foireuses et son crie efféminé, l’artiste perché, et bien sûr, le puceau timide. Ces personnages ne sont jamais réellement creusés, mais c’est volontaire : ils jouent avec les stéréotypes que nous avons tous en tête, et vont jusqu’au bout du cliché avec un enthousiasme communicatif. Le quarterback, par exemple, devient paradoxalement l’un des personnages les plus attachants et les plus loufoques du film. Mais la véritable révélation, c’est Bee. Samara Weaving, magistrale, apporte au personnage une complexité et un charisme énormes. Derrière l’image de la baby-sitter sexy et fantasmée, elle dévoile peu à peu une profondeur inattendue et une désillusion touchante. Elle porte littéralement le film sur ses épaules et marque durablement le spectateur. À ses côtés, Judah Lewis est tout aussi convaincant : parfait en adolescent maladroit et terrifié, il parvient aussi à rendre crédible sa transformation en survivant improvisé, à la fois vulnérable et héroïque. Certes, tout n’est pas parfait, loin de là. La mise en place est un peu longue et il faut s’armer de patience avant que l’intrigue ne démarre vraiment. Les incohérences abondent, la crédibilité est mise à rude épreuve, et le film ne s’adresse pas à tout le monde : il faut accepter son ton volontairement absurde et exagéré pour pouvoir l’apprécier pleinement. Mais c’est justement là que réside sa force. The Babysitter est une série B totalement assumée, un mélange de gore cartoonesque et d’humour potache, qui préfère provoquer des fous rires plutôt que des frissons. Les meurtres, souvent absurdes, sont d’une inventivité réjouissante et éclaboussent littéralement l’écran de sang. Les dialogues suivent la même logique déjantée, renforçant le côté délirant de l’ensemble. On sent que toute l’équipe a pris un plaisir énorme à faire ce film, et cette bonne humeur communicative parvient à faire oublier ses nombreux défauts. Au final, avoir la même sœur serait cool. Enfin, sans la secte satanique.
Il y a tellement de problèmes dans ce film mais… j’ai bien aimé. C’était plutôt fun, les acteurs sont bons, on se régale avec les scènes invraisemblables de violence et de gore et la tension de la poursuite, mais c’est vrai que je l’ai trouvé un poil long par moment (alors que le film est extrêmement court). Samara est, de plus, particulièrement magnifique et elle incarne tellement bien Bee. J’adore sa relation avec Cole, leurs moments de complicité. C’est drôle, sensuel et à l’image de ce qu’est l’adolescence pour beaucoup de personnes. Ah, et Cole est super dans son rôle, j’aime son côté pince-sans-rire, corrosif et nonchalant. Maintenant, trop de clichés comme le personnage du noir drôle qui se fait buter en premier, du noir infirmier qui n’est là que pour un effet comique un peu ridicule, ou de l’écervelée. C’est Netflix qui produit, ils auraient pu faire un effort. Par ailleurs, ça ne me dérange pas que les motivations de Bee, ou l’origine du culte, ne soient pas expliquées en détails. C’est sans prise de tête et ça fonctionne plutôt bien. Je crois que j’aimerais beaucoup revoir cette duologie. bbbbbbbbbbb
Vu en classe de maths c'est pas le meilleur film d'homme que j'ai vu mais il est assez cool et fun a regarder je regrette pas, y a eu des moments de tensions et suspense j'étais vraiment prise par le film 🧩 Synopsis détaillé Cole Johnson est un adolescent de 12 ans, intelligent mais réservé, souvent victime de harcèlement par ses camarades. Sa baby-sitter, Bee, est l'une des rares personnes à le traiter avec respect et amitié. Un soir, sur les conseils de son amie Melanie, Cole décide de rester éveillé pour observer ce que fait Bee une fois qu'il est censé dormir. Il découvre alors que Bee fait partie d'une secte satanique et assiste à un rituel sanglant impliquant un sacrifice humain. Dès lors, Cole devient la cible du groupe, qui cherche à l'éliminer pour préserver leur secret. Il devra faire preuve de courage et d'ingéniosité pour survivre à cette nuit cauchemardesque. 🎭 Thèmes et ambiance Le film mêle habilement l'horreur et la comédie, offrant des scènes à la fois effrayantes et humoristiques. Il explore des thèmes tels que le passage à l'âge adulte, le courage face à l'adversité et la perte de l'innocence. Les personnages sont volontairement stéréotypés, ce qui ajoute une dimension parodique au récit.
Grv drôle
Type : horreur Sur Netflix Vraiment nul Gore Début éclaté (type film américain) Je ne l'ai même pas finie 💀
Incroyable