
2025
•
Adventure / Fantasy
•
1h46
Summary
After his last tour, Aurélien decides to settle in Japan with his wife Nanako, pregnant with their first child. In their new house in the Japanese countryside, Aurélien discovers an old armor that awakens strange creatures, the Yokaïs.
Vu en solo pathé amiens Un poil ennuyant Chouette duo d'acteurs notamment la meuf d’Orelsan, ils se prennent pas pour des acteurs le jeu est simple et bienvenu Yokai dégueulasse en 3d mais avec quelques punch d'humour ok On entends pas beaucoup l'album
Très bon film, scénario original avec une pointe de philosophie. Musiques originales et plus qu’excellente. Entre folklore japonais et références musicales, aussi bon qu’un marvel, si je suis honnête.
Pas si mal
(T) Yoroï” : l’autocritique d’Orelsan vire à l’ego trip Un rappeur s’isole dans la campagne nippone avec sa femme. Avant de trouver une armure… Orelsan rate son autoanalyse avec cet ovni mâtiné de fantastique qui semble surtout adressé à ses fans. Bof Quatre ans après le succès de son album , Orelsan voit les choses en grand pour son retour. Un nouvel opus musical, La Fuite en avant, est prévu pour le 7 novembre, avant une tournée d’ampleur en 2026 qui se conclura par une série de dix concerts à Paris. En attendant de retrouver son public, le rappeur fait un petit détour par le cinéma, avec un long métrage tourné entre le Japon et la France, sous la houlette du réalisateur habituel de ses clips. L’acteur-chanteur y incarne un ersatz de lui-même, parti s’installer dans la campagne nippone avec sa femme enceinte pour échapper aux paparazzis et aux fans envahissants. Avant d’enfiler, par hasard, une armure de chevalier aux pouvoirs magiques, trouvée au fond d’un puits… Réservé aux fans Yoroï séduit, d’abord, par sa capacité à développer un monde peuplé de monstres repoussants, symboles évidents d’une carrière vécue dans l’opulence et les doutes. Empruntant volontiers à l’univers du manga et du cinéma japonais des années 1970, le film a le mérite de ne pas choisir la facilité en adoptant des codes de mise en scène audacieux, rarement vus dans le cinéma français de ces dernières années. Trucages délirants, goût pour l’humour sordide et ruptures de ton récurrentes apportent de la singularité à l’entreprise, tout en parvenant à gommer certains tics de clip, à l’image d’une séquence d’ouverture où Orelsan est acculé par un troupeau d’admirateurs, sur fond d’une musique indigeste. À lire aussi : Au bel ovni fantastique se substitue pourtant une dernière partie virant à l’ego trip, destinée aux fans assidus du rappeur. Les combats d’arts martiaux y frôlent le mauvais goût, certains plans se retrouvent surchargés d’effets spéciaux, et les caméos des proches de l’artiste se révèlent accessoires au possible. Comme si le film devait se parer d’un fan service obligatoire pour plaire au plus grand nombre de spectateurs.
Suffisant, je m'attendais a rien de la part d'un film de rappeur et j'ai passé un bon moment !
Perché, sagesse de sa femme et paroles vraies. Drôle à l’image du personnage
Un super moment. Drole, original. Un peu long sur la fin, mais fallait bien tuer le boss de fin!
Tres bonne surprise je m'attendais à une bouse
Le film est juste correct. Le jeu d’acteur français reste toujours aussi frustrant : peu importe les émotions, la voix et l’intonation restent les mêmes, ce qui enlève toute intensité. Concernant l’histoire, Orelsan et sa compagne réagissent comme si tout ce qui leur arrive était normal, ce qui rend certaines scènes ridicules ou dénuées de sens émotionnel. En revanche, le fond du scénario est plutôt intéressant et fait réfléchir. On sent qu’Orelsan essaie de faire passer un message, même si la forme manque de profondeur et de vie.