Summary
The story follows a filmmaker (Mathieu Amalric) whose life is sent into a tailspin by the return of a former lover (Marion Cotillard as Carlotta) just as he is about to embark on the shoot of a new film.
Drame • (1h54) • 2017 • France • Réalisé par Arnaud Desplechin • avec Mathieu Amalric, Marion Cotillard, Charlotte Gainsbourg, Louis Garrel. Ismaël Vuillard réalise le portrait d'Ivan, un diplomate atypique inspiré de son frère. Avec Bloom, son maître et beau-père, Ismaël ne se remet pas de la mort de Carlotta, disparue il y a vingt ans. Aux côtés de Sylvia, Ismaël est heureux. Mais un jour, Carlotta, déclarée officiellement morte, revient. Sylvia s'enfuit. Ismaël refuse que Carlotta revienne dans sa vie. Il a peur de devenir fou et quitte le tournage pour retrouver sa maison familiale à Roubaix. Là, il s'enferme, assailli par ses fantômes... ▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️ Carlotta s’était volatilisée vingt ans plus tôt. Soudain, tel un spectre, elle débarque — d’Inde, explique-t-elle vaguement. Et elle s’immisce au sein du couple qu’Ismaël, son ancien amoureux, forme désormais avec Sylvia… Les fantômes, pour Arnaud Desplechin, sont toujours les témoins redoutables d’un état antérieur du monde. Ils ont connu les vivants dans leur version la plus pure. Ils revendiquent soudain une place qu’ils ont pourtant abandonnée. Inchangés, ils font souffler un tourbillon de regrets, de remords. Les déchirements et disputes que provoque Carlotta, où s’énonce la vérité des existences, rappellent ainsi la cruauté de Bergman. Et, dans les moments les plus romanesques, une certaine veine de Truffaut et de Hitchcock (Carlotta est le prénom de la femme du portrait dans Vertigo / Sueurs froides) : les maîtres de Desplechin réapparaissent donc en filigrane, éternels revenants eux aussi. Mais, au fil des années et des films, même les ténèbres ont pris des nuances burlesques chez le cinéaste. La mort, l’amour, la filiation : toutes les pièces clés du puzzle retrouvent leur place comme par miracle, le chagrin, la folie et la terreur soudain dissipés… À moins que ce ne soit qu’une accalmie, une simple éclipse de fantômes. TÉLÉRAMA • Critique par Louis Guichard • Publié le 06/02/2023.
Vu avec Sylvie à Paris le 22/2
Arte
J ai pas comptis le desordrede tous les fantasmes de ce pauvre Ismael qui perd ke contrilecxe sa vie . Carlotta sa femme sylvia sa fiancee, yan son frere , ses films ses realisations, etc cocaine alcool etbpkus le film avance et plus onbs y petd
Très étrange, hypnotique, merveilleuse interprétation