2024
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Drama
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1h28
Summary
What does it mean, to go to the movies? Why have people been going for over one hundred years? I set out to celebrate movie theaters and their manifold magic. So I walked in the footsteps of young Paul Dédalus, as if in a filmgoer’s coming-of-age story. Memories, fiction, discoveries come together in an irrepressible torrent of pictures.
D accord avec le propos mais pour moi ce n estbpas un film mais plutôt un documentaire. Ennuyeux
Arnaud Desplechin • 2025 • 1h28 • France • Louis Birman, Dominique Païni, Clément Hervieu-Léger, Françoise Lebrun, Sandra Laugier, Flavie Dachy, Lucie Borleteau. Au début des années 1970, Paul Dédalus, âgé à l'époque de 6 ans, se rend pour la première fois dans une salle de cinéma en compagnie de sa grand-mère et de sa soeur. Pour le petit garçon, c'est une véritable révélation : il tombe immédiatement amoureux du septième art. Durant des années, Paul enchaîne des dizaines de films, allant jusqu'à visionner trois fois les oeuvres qu'il apprécie. A 14 ans, il ment sur son âge pour pouvoir voir un drame d'Ingmar Bergman. Au lycée, il fonde un ciné-club. A l'aube de la vingtaine, il est devenu un véritable cinéphile. Le jeune homme ambitionne alors de passer derrière la caméra... 🎥 🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥🎥 En attendant sa prochaine fiction, qu’on découvrira au printemps, le réalisateur de frère et soeur (2022) fait un pas de côté pour se mettre au service de son grand sujet : le cinéma. Son histoire, sa magie, sa beauté, sa profondeur, son importance dans l’existence, c’est tout cela, et plus encore, que met en lumière ce film généreux, à la fois documentaire, essai, exercice d’admiration et reconstitution autobiographique de l’histoire d’un spectateur. Le point d’exclamation du titre ne s’oublie à aucun moment, car le ton choisi est celui d’un enthousiasme direct, irrépressible. La première chose dont nous parle Desplechin, c’est justement ce mouvement du cinéma que rien n’arrête et que tout a appelé, avant même sa naissance ! Dans les peintures des nabis, groupe formé en 1888, un esthète cinéphile, Dominique Païni, vient pointer des ombres, des tremblements, toute une vie qui va jaillir en 1895 avec l’image animée des frères Lumière. Le septième art est une nécessité : un message élevé au rang de profession de foi pour structurer ce film, qui jongle librement avec toutes sortes d’idées. S’exprimant toujours à la première personne dans le commentaire en voix off, Desplechin devient encore plus personnel lorsqu’il met en scène ses propres souvenirs à travers le personnage de Paul Dédalus, son double à l’écran depuis longtemps. Sa première fois au cinéma, son premier film de Bergman sur grand écran, son adolescence, mêlant rendez-vous cinéphiles et amoureux : très réussies, ces scènes à la fois modestes et essentielles sont traversées par une émotion qui confine au sacré. Le ton se fait même solennel pour évoquer Shoah (1985), documentaire de Lanzmann que Desplechin découvrit à 24 ans et qui, dit-il, changea radicalement sa vie, car il faisait de chaque spectateur un témoin. Voir un film, c’est aussi recevoir une responsabilité. Portée par un désir de transmission à la jeune génération, cette réflexion a le charme d’une conversation avec un ami : au fil d’une magnifique collection d’extraits, elle invite les spectateurs d’aujourd’hui à comprendre tout ce que le cinéma peut pour eux quand ils vont jusqu’à lui. Dans les salles, bien sûr. TÉLÉRAMA • Par Frédéric STRAUSS • Publié le 14 janvier 2025.
Fiche technique Genre : Drame Année : 2025 Pays d'origine : France Durée : 1 h 28 min Date de sortie (France) : 15 janvier 2025 Date de sortie (France) : 15 janvier 2025 Réalisateur : Arnaud Desplechin Scénariste : Arnaud Desplechin Producteurs : Romain Blondeau, Olivier Gauriat, Charles Gillibert, Olivier Père Distributeur : Les Films du Losange Synopsis : Qu’est-ce que c’est, aller au cinéma ? Pourquoi y allons-nous depuis plus de 100 ans ? Je voulais célébrer les salles de cinéma, leurs magies. Aussi, j’ai suivi le chemin du jeune Paul Dédalus, comme le roman d’apprentissage d’un spectateur. Nous avons mêlé souvenirs, fiction, enquêtes… Un torrent d’images qui nous emporte...
Plus documentaire que fiction. Balade dans le 7è art. Touffu et inégal, un peu long sur la fin mais on passe quand même un bon moment. https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=317901.html
Intéressant car aborde le sujet du cinéma, l’évolution et ce que ça nous procure. Mode documentaire
Vraiment pas terrible. Un entre-soi autocentré sans queue ni tête. On a beau essayer de se plonger dans la peau du narrateur on a du mal à suivre l’enchaînement des idées. Ce film se veut probablement un peu intello et pour cinéphile mais le résultat c’est qu’on s’ennuie, et c’est pourtant pas faute d’être très cinéphile et d’aimer les films un peu intellos. Sans grand intérêt.