
2013
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Jaume Cabre
Résumé
Avant que la lucidité ne le quitte à jamais, un homme écrit à la femme de sa vie, dans le chaos absolu d’une mémoire vacillante, de longs feuillets recto/verso. D’un côté : l’itinéraire d’un enfant sans amour et l’affliction d’un adulte sans dieu, de l’autre : l’histoire du Mal souverain. Confiteor (en latin : je confesse) est une véritable cathédrale profane.
Écriture difficile très proche du parler, qui fait perdre le fil bien souvent d'une histoire qui avait tout pour plaire à première vue.
Écriture trop perturbée, histoire d’un homme qui a perdu la mémoire et qui raconte des bribes de sa vie à sa femme, et l’histoire d’un violon. Mais trop de temporalités mélangées dans un même passage, ça devient pénible à lire. Pas lu jusqu’au bout-375 pages
Un peu labyrinthique... Et long. Prêté par Valérie
Adria, grand intellectuel mais eleve dans une famille peu aimante, ecrit son histoire à sa bien aimee au terme de sa vie Recit deroutant dans son développement, chronologie entremêlée Histoire d’amour, de trahison Histoire d’un violon qui traverse les époques de la naissance des bois qui le constituerons a nos jours… Histoire de persécutions… de l’inquisition a la Shoah
Livré complexe à lire ou les flashbacks sont au sein des chapitres. Il faut suivre ce qui n’est pas facile. Très belle histoire. Livré de 914 pages
Adria en quête de sens. Le thème central du roman m’apparaît être l’ego sous toutes ses formes. La quête effréné pour le satisfaire à travers des objets tous plus rares les uns que les autres. Le mal-être d’un « moi » fragile cherchant en vain à se posséder. Et puis, à la fleur de la vie, la mort qui le fauche. L’ego d’un ami qui sans répit le compare et l’accapare. On y découvre l’histoire d’Adria, un jeune garçon triste, qui cherche sa place dans un monde sans amour paternel. L’amour est également un autre sujet abordé par l’œuvre. Peut-on aime bien quand on a soi-même toujours connu le mal-amour.