Résumé
« La narratrice est confrontée au corps sans vie d'un homme, retrouvé sur une plage du Havre. Cet événement l'oblige à se remémorer quelques souvenirs. »--
Opinion du public
184 avis
6.8/10
Les avis sur ce livre sont partagés, oscillant entre admiration pour la magnifique écriture de l'auteur et déception face à une intrigue qui peine à captiver. Certains lecteurs apprécient les descriptions détaillées du Havre et les réflexions introspectives, tandis que d'autres trouvent le récit décousu et manquant de dynamisme. L'aspect documentaire sur la ville et les souvenirs personnels sont bien reçus, mais l'absence d'une conclusion solide laisse plusieurs lecteurs sur leur faim.
👍 Écriture magnifique et introspective.
👎 Intrigue parfois lente et décousue.
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Maylis de Kerangal. Narratrice appelée par police pour reconnaître un corps d'un inconnu qui avait son numéro de téléphone dans la poche de son jean. Immersion dans la ville du Havre, de belles descriptions de la mer mais finalement un peu longues. A la fin, aucune réponse (pn ne sait pas qui est l'homme), juste le ressac de nombreux souvenirs. Dommage il y avait là matière à un tres bon roman...
De Maylis de Kerangal (2024)
Une histoire embrouillée qui perd le lecteur avec des lenteurs descriptives et une fin qui laisse sur sa faim.
Déçue par ce nouveau roman. J’aimais l’intrigue de départ: une femme à qui l’on apprend qu’un homme est mort sur la plage au Havre et qu’il avait pour toute identification un ticket de cinéma avec son numéro à elle. La suite est l’enquête qu’elle mène pour savoir de qui il s’agit… et sa plongée dans l’histoire de la ville du Havre et sa propre jeunesse. L’homme en question s’appelle Craven et est son premier amour… qui l’avait ghostee.
Livre original et très bien écrit ! J’ai beaucoup aimé… peut-être d’autant plus que je suis originaire du Havre et que les lieux décrits me parlent !
Livre court avec un pitch séduisant. Néanmoins l’écriture fait une part trop grande aux descriptions (2/3 du roman). Cela nuit à l’intrigue et l’action quasi inexistantes. De plus, on reste sur sa fin