Résumé
« Ce livre me fait peur. Le processus a été douloureux. Mon père nous a annoncé qu’il n’allait pas tarder à mourir et je me suis mis à écrire. Trois années au peigne fin, mes relations, mes pensées paranoïaques, mon rapport étrange à lui, crachés sur le papier. Je me suis donné pour but de le tuer avant qu’il ne meure. C’est l’histoire de quelqu’un qui cherche à tuer. Soi, ou le père, finalement ça revient au même. »<br /><br />Panayotis Pascot s’attaque d’une plume tranchante et moderne à trois thématiques qu’il tisse pour composer un récit autobiographique aussi acide qu’ultralucide. La relation au père, l’acceptation de son homosexualité et la dépression s’enchevêtrent ici dans un violent passage à l’âge adulte. Mais la lumière en sort toujours, d’un regard, d’une façon d’observer le quotidien avec autant de tendresse et d’humour que de clairvoyance.
Un récit autobiographie sincère, cru et extrêmement touchant de Panayotis Pascot (humoriste que j’adore) dans lequel il décortique sa relation avec son père, sa famille, ses relations amoureuses et son acceptation de son homosexualité, il partage aussi sur sa dépression mélancolique et les enfers vers où cette maladie l’a mené, ses combats au quotidien et son équilibre / son bonheur enfin trouvé avec l’homme de sa vie ! J’ai lu ce livre en une après-midi seulement, impossible de décoller mes yeux de ces lignes qui m’ont profondément touchées en plein cœur (aussi parce qu’on sent que l’écriture de cette œuvre était thérapeutique pour Panayotis Pascot) ! A noter : la pièce mettant en scène ce texte m’était complètement tombée des mains, même si c’était extrêmement bien joué et incarné par Vassili Schneider
Panayotis décrit sa dépression sévère et la découverte de son homosexualité.
Quelle belle bibliographie poignante qui nous touche jusqu’au cœur 🥹
Language trop vulgaire à mon goût. Lecture pas très fluide et saccadée… En gros il parle de sa dépression et je pensais qu’il allait plus parler de son père et de leur relation.