
2012
•
Alfred de Musset
Résumé
Lorenzo de Médicis rêve de devenir un nouveau Brutus en délivrant Florence, sa patrie, de la tyrannie du prince corrompu, Alexandre de Médicis. Pour cela, il endosse la livrée de la débauche. Mais il a si bien sondé les profondeurs de l'abjection que cette tunique de Nessus lui colle à la peau. Drame romantique de la souillure et de la lutte contre les impostures sociales, Lorenzaccio est aussi le procès du politique.
Lecture moyenne mais rapide. Pièce de théâtre ce déroulant en Italie. La lecture à sûrement moins d'intérêt que la pièce.
Le style da la confession n'est ici que peu présent ce qui est une déception. Scènes et personnages inutiles qui compliquent l'histoire sans raison. Fin abrupte. On peut y voir un message contre la servitude volontaire mais qui ne suffit pas à sauver le tout.
La dualité d'un personnage tiraillé entre lui et sa propre image.
La manière dont Lorenzo planifie le meurtre du Duc alors qu'il est perçu comme faible, même féminin, avec peu d'honneur, c'était fun (grosse victime va) Les tirades étaient longues par contre, c'était un peu chiant à certains moments. La conspiration du cardinal Cibo était un peu dur à suivre je trouvais, encore plus avec les changements d'intrigue à chaque scène. J'ai bien aimé par contre le côté où le duc baisait et tuait qui il voulait, ce qui a mené à la révolte, et comment il forçait ses partisans à faire de même.
Ecole
Dans une Florence des années 1530 on nous décrit la cour et le paysage social de l’époque où les Médicis et la cour s’amuse avec les femmes et font le déshonneur de la ville pourtant autrefois vouée à un avenir radieux. On entend dire d’autre part en Italie que Lorenzaccio déshonore Florence et est un danger pour son beau frère le duc celui ci refuse d’y croire. Lorenzaccio montre toute sa prétendue faiblesse lors d’une blague du duc et de sire Maurice où celui-ci refuse catégoriquement le combat à l’épée déshonorant sa famille et surtout sa mère qui pleure de voir son fils démunis de tout courage Alexandre de Médicis rencontre un poète et peintre nommé giomo. On comprends peu à peu que Lorenzo est républicain et n’est pas du côté d’Alexandre. Pierre strozzi blesse gravement salviati qui a tenu des propos inacceptable sur sa sœur. Lorenzo ment même à sa mère en prétendant qui s’est évanoui à la vue d’une lame. Lorenzo s’entraîne dans sa chambre et avoue à son entraîneur qu’il compte tue le duc Alexandre de Médicis Pierre et Thomas strozzi se fait arrêter par les officiers allemands d’après les ordres du duc. Philippe et Lorenzo discute d’une solution pour sortir ces fils de la prison et Lorenzaccio Luis avoue toute la vérité : qu’il compte tue Alexandre de Médicis d’ici très peu de temps et que c’est l’unique but de sa vie car dans l’humanité il n’a vu que du mal et qu’il ne lui reste plus que ça à accomplir car il n’a rien à perdre. Catherine reçoit une lettre du duc qu’il lui dit qu’il l’aime. La marquise dit au duc ce qu’elle a observé et comment agir pour reconquérir Florence et le cœur des florentins pour éviter de mourir à cause du peuple mais le duc ne veut rien entendre et la prend pour une folle que le diable a frapper. Philippe strozzi convie à une grande dîner de nombreux républicains pour les liées et mener une révolte contre le duc de Médicis. Pendant le repas Louise meurt empoisonner ( peut être par un ancien servant à salviati ) Philippe et désespéré et les convives sont alors en marche pour tuer Alexandre de Médicis.