
1993
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Eugène Ionesco
Résumé
Théâtre avec dix-sept personnages : cinq femmes, douze hommes.
Théâtre absurde. Critique de la passivité de la société face à la monté du fascisme, métaphore par la transformation en rhinocéros Échec de la communication, chaque personnage est enfermé dans son système de pensé (de droite ou de gauche) qui mène systématiquement à la justification et la normalisation de l’inacceptable. Les personnages sont d’abbord effrayés par les rhino et ne comprennent pas "comment est ce possible dans un pays civilisé. Ils ne trouvent pas d’explication et relativisent, "les rhinocéros existent c’est tout" Ils sont déconnectés de la réalité, se disputent sur des détails futiles et continue leur train train de paperasse habituel. Ils dédramatisent, normalisent puis relativisent, jusqu’à se radicaliser ou se conforment "il faut suivre son temps" et se transformer comme Jean. Beranger est le dernier homme. Il devient fou, envie les rhino, peut être ont ils raisons, mais finit par refuser de capituler
En lecture cursive de théâtre et dispute Visionnée Personnes qui se transforment au fur et à mesure en Rhinocéros, sans trop de raison Abandon de sa part d'humanité vers l'animal Métaphore du conformisme, voire même de l'arrivée du totalitarisme -> suivent les autres Impossibilité de lutter contre une idée lorsqu'on est le seul à l'avoir (devient fou à la fin) Peut être lié aux idéaux de beauté : très changeant et subjectif : à la fin, trouve les Rhinocéros magnifiques car ils représentent la majorité, contrairement au début.
Ouai pas mal pas mal