
2025
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Maria Pourchet
Résumé
« J’ai coupé un lien avec quelque chose d’aussi étouffant que vital et je ne suis désormais plus branchée sur rien. Ni amour, ni foi, ni médecine. » Une femme est partie. Elle a quitté la maison, défait sa vie. Elle pensait découvrir une liberté neuve mais elle éprouve, prostrée dans une chambre d’hôtel, l’élémentaire supplice de l’arrachement. Et si rompre n’était pas à sa portée ? Si la seule issue au chagrin, c’était revenir ? Car sans un homme à ses côtés, cette femme a peur. Depuis toujours sur le quivive, elle a peur. Mais au fond, de quoi ? Dans ce texte du retour aux origines et du retour de la joie, Maria Pourchet entreprend une archéologie de ces terreurs d’enfant qui hantent les adultes. Elle nous transporte au coeur des forêts du Grand Est sur les traces de drames intimes et collectifs.
Ce livre est banal et indigeste .L histoire est banale . Le style est inintéressant.pas de recherche .elle écrit comme on parle .le livre est mal structuré et des chapitres entiers n apportent rien à l histoire .je n ai pas aimé et j ai perdu mon temps ce qui est navrant .
Grande fan de l'autrice- ici son roman m'a paru encore plus décousu que d'habitude , j'adore en général son écriture ciselée, phrases courtes , sans verbe mais ici trop utilisé. On se perd dans ses prises de positions, ça tourne un peu en rond. Les lecteurs sont trop éloignés...
Il y a de très belles idées et phrases mais le style saccadé, dur à suivre, qui m’a fait plusieurs fois relire des passages, desserts l’histoire, m’a même amené à interrompre et mettre de côté le livre. Finalement j’ai bien fait de le reprendre car la fin à quelques pépites…
Style particulier que j’ai apprécié Pour la Narratrice Pour les dialogues avec le psy qui dit toujours Alors ? Michelle retrouve son psy Ariel aux urgences avec sa fille Lou La peur car née à Epinal en 1980 comme le petit Gregory assassine le 16 octobre 1984 disparu et noyé dans la Vologne
Maria Pourchet
Excellent en tout point comme d’habitude. (Attention toutefois : tordre la langue pour la rendre efficace et belle, c’est bien mais il ne faudrait pas que cela devienne une obligation)