Résumé
Un homme mourant d'une quarantaine d'années se remémore son passé. Son enfance, sa mère, la guerre, des moments et des choses intimes qui racontent l'histoire récente de toute la nation russe.
Comme les rêves / J’aime les archives
Andrei Tarkovsky DOP Gueorgui Rerberg
J'ai mis 3, parce que j'ai rien compris au film, rien de rien. Jamais aussi perdu de ma vie, mais je suis heureux d'avoir vécu au moins une fois cette expérience dans ma vie. Car oui c'est une véritable expérience que nous offre ce film C'est un poème visuel avec aucun fil logique chronologique car le but premier du film n'est pas de raconter mais de faire ressentir. C'est des plans magnifiques, contemplatif, ou s'enchaînent sans lien forcément logique, se sont des plans long agencé à la manière d'une poésie, ou on passe d'une émotion à une autre. À regarder une nouvelle fois, juste pour l'expérience Finalement je mets 10, car c'est a ça que devrait tendre le cinéma, vers des révélations, des réflexions profonde nous questionnant.
Faut être très concentré mais l’image est vraiment magnifique à l’effigie de l’histoire qui est vraiment incroyable bref on adore toujours autant Tarkovsky
Film intéressant mais mon attentionspam de moucheron a réussi très difficilement à finir ce film..
Des souvenirs peut être pas assez nets pour écrire une review pleinement constructive mais des souvenirs vraiment très très bon... Peut être un peu chiant par moment mais ptn c'est beau, tant l'image qui est magnifique que ce côté flottant et irréel que le film a tout du long. L'âme russe tout ça tout ça Après un second visionnage dans le cadre de la grande rétro d'Andreï, je confirme que c'est juste fabuleux... Une succession de souvenirs d'un homme prêt à mourir partageant des relations complexes avec tout le monde... Des tableaux absolument somptueux (parmis les plus belles images tout cinéma confondu selon moi), une poésie plus boostée par une très belle voix off occasionnelle que les nageuses est allemandes par les stéroïdes et Tarkovski qui s'affirme comme un maître incontestable de la fin. Après pas mal que ça dure pas 2h,le manque complet de scenar aurait peut être fini par plomber le tout mais sur cette durée c'est kein problème, mon souvenir est confirmé, une utilisation de la caméra, des couleurs, des plans, tout est maîtrisé au summum pour accentuer ce côté flottant du film. On a vraiment ici l'impression de plonger dans la mémoire d'un homme, de Tarkovski. La plus belle introspection jamais réalisée