Le quai des brumes

1938

🎬 Le film de Marcel Carné reste un incontournable du cinéma français, magnifiquement photographié et mis en scène. Jean Gabin à son meilleur, entouré d’une bande d’acteurs tous aussi fabuleux, Michelle Morgan, Michel Simon, Pierre Brasseur ou Robert Le Vigan. Les dialogues signés par Jacques Prevert sont toujours aussi poétiques et sulfureux. L'ambiance est brumeuse, sombre et mélodramatique. La musique accompagne très bien le film et correspond parfaitement à cette atmosphère si particulière. " T'as de beaux yeux, tu sais. - Embrassez-moi. " Un chef d'oeuvre immortel. 🎬 🎬 🎬

Chef d'œuvre du réalisme poétique !

1938. Avec Jean Gabin, Michel Simon, Michèle Morgan,

Réalisation de Marcel CARNÉ Scénario et dialogues de Jacques PRÉVERT photographie Eugène SCHUFFTAN, Louis PAGE et Marc FOSSARD Musique de Maurice JAUBERT Montage de René LE HÉNAFF Décors de Alexandre TRAUNER Costumes de Coco CHANEL Drame Français 1938 91mn avec Jean GABIN Michèle MORGAN Michel SIMON Pierre BRASSEUR Marcel PÉRÈS Edouard DELMONT Robert LE VIGAN Raymond AIMOS René GENIN Roger LEGRIS Léo MALET Gaby WAGNER Martial RÈBE Marcel MELRAC Jenny BURNAY Raymond PÉLISSIER Sortie le 17 mai 1938 Résumé Jean, un déserteur, arrive au Havre en camion et recherche un abri avant de quitter la France. Il est hébergé dans une cabane au bout des quais par l'étrange et chaleureux Panama. Il fait la connaissance d'un curieux peintre, Michel et d'une belle jeune fille triste, Nelly. Elle est terrorisée par son tuteur, un homme assez louche, Zabel, lui-même guetté par un petit groupe de voyous dont le chef est Lucien. Celui-ci est un personnage veule. Jean le gifle devant ses acolytes un matin où il importune Nelly. Michel se suicide, laissant à Jean ses vêtements civils et son passeport. Jean décide de s'embarquer pour le Venezuela mais le souvenir de la nuit qu'il vient de passer avec Nelly le retient à terre. Il court chez la jeune fille, trouve Zabel, une scène violente éclate et Jean écrase le crâne de Zabel à coups de brique. Au moment de fuir vers le port, il est abattu à coups de revolver par Lucien. Il s'écroule, Nelly sanglote à côté de lui. " Embrasse-moi... vite " dit-il avant de mourir.

8/10 Mais côté vieille école à l’ancienne perd mon objectivité

Très bon dialogues de Jacques Prévert