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Résumé
Georges Duroy, dit Bel-Ami, rêve d’ascension sociale. Prêt à tout pour quitter sa mansarde et entrer dans la bonne société parisienne, il use de son charme et multiplie les conquêtes pour se faire un nom. Mais cette ambition débordante le fera-t-elle courir à sa perte ? OEuvre incontournable de Guy de Maupassant, Bel-Ami dresse un portrait saisissant de la société parisienne du XIXe siècle où se mêlent journalisme, politique et capitalisme.
Avis et Commentaires
14 avisDu Roy brise le plafond de verre de la société parisienne en usant de ses charmes- notamment auprès des dames. Malin et déterminé il saisit l’opportunité de se glisser dans la haute société. Ces gens là n’ont aucun secret pour lui : ils sont sots, viciés et faibles d’esprit. Duroy monte les étages sans encombre mais il est insatiable : il ne cessera de se confronter à un nouveau plafond. Elements qui m’ont marquée : - il deplore à un moment le manque de patriotisme des français du 18e. - estime de soi et clairvoyance : il ne se sent pas du tout inférieur aux gens de la haute dont il a compris la banalité - Vivre c’est mourir : car chaque seconde et chaque action nous approche un peu plus de la mort - ambition insatiable, mais non démesurée ? Ne connait pas de chute de tout le roman Mon avis sur la lecture : très facile j’ai bien aimé. L’envie d’ascension de Duroy a raisonné en moi. J’ai vu les limites de cette envie qui pouvait devenir démesurée et dégénérée.
Du Roy brise le plafond de verre de la société parisienne en usant de ses charmes- notamment auprès des dames. Malin et déterminé il saisit l’opportunité de se glisser dans la haute société. Ces gens là n’ont aucun secret pour lui : ils sont sots, viciés et faibles d’esprit. Duroy monte les étages sans encombre mais il est insatiable : il ne cessera de se confronter à un nouveau plafond. Elements qui m’ont marquée : - il deplore à un moment le manque de patriotisme des français du 18e. - estime de soi et clairvoyance : il ne se sent pas du tout inférieur aux gens de la haute dont il a compris la banalité - Vivre c’est mourir : car chaque seconde et chaque action nous approche un peu plus de la mort - ambition insatiable, mais non démesurée ? Ne connait pas de chute de tout le roman Mon avis sur la lecture : très facile j’ai bien aimé. L’envie d’ascension de Duroy a raisonné en moi. J’ai vu les limites de cette envie qui pouvait devenir démesurée et dégénérée.
