Résumé
Solaro traverse les épreuves de l'existence avec une force que les autres n'ont pas : il sait jouir du moment présent. Ce livre est son histoire, le roman d'un homme joyeux. C'est aussi une invitation à la réflexion, à comprendre ce qu'est la " joie ", cette force mystérieuse qui, à tout instant, peut rendre notre vie exaltante. "Je lui dis que ma sortie je n'y pense jamais. Jamais. Je lui dis que j'ai cette vie là à aimer et que c'est bien assez. Je lui dis que je ne veux pas de son espoir parce que l'espoir est un poison : un poison qui nous enlève la force d'aimer ce qui est là." Solaro traverse les épreuves de l'existence avec une force que les autres n'ont pas : il sait jouir du moment présent. Ce livre est son histoire, le roman d'un homme joyeux. C'est aussi une invitation à la réflexion, à comprendre ce qu'est la " joie ", cette force mystérieuse qui, à tout instant, peut rendre notre vie exaltante.
Franchement je n’étais pas du tout du tout emballée au début, j’ai failli arrêter le livre chose que je ne fais quasiment : pas bien écrit et surtout le thème était assez merdique. Mais j’ai continué et j’ai plutôt bien fait même si clairement pas le livre de l’année. Dans le thème des romans philosophiques, on en a beaucoup d’autres et qui sont divinement bien écrits. Bref, on suit donc l’histoire d’un homme qui perd sa mère, qui se fait tabasser par des mecs, qui kiffent le sexe et qui va accidentellement tuer quelqu’un. Il va donc se faire juger et partir en prison mais sa solution à lui (et conseillée par l’auteur) est de se satisfaire de ce qu’on a : ta mère est morte et bien c’est la vie, tu as tué quelqu’un et bien tu assumes ton acte, tu es en prison et tu ne sais pas quand tu sortiras et bien tu profites de tous les bons petits moments. Il y a une esquisse de réflexion sur la folie qui est assez intéressante mais pas vraiment finie puisque il attaquera un médecin à la fin (on ne sait pas trop pourquoi d’ailleurs) et finira tué. Il y a un petit air de Camus dans l’air avec ce côté absurde de l’Etranger.