Boucher

J’aime habituellement lire Joyce Carol Oates mais cette fois-ci abandon après avoir lu un quart du livre. Un véritable cauchemar alors que je n’étais même pas rentrée dans le vif du sujet, sujet néanmoins intéressant basé sur des faits réels qui nous fait découvrir les pratiques chirurgicales dans les asiles d’aliénées au 19eme siècle. Mais beaucoup trop de redondances, de descriptions gynécologiques, c’est vite insupportable. Quant au personnage principal, le médecin, il est d’une telle noirceur, dénué de sentiments, un véritable monstre.

Magnifique glaçant ( ça m’a bien perturbée pour ma consultation gynécologique) Nous étions bien peu de chose au 19eme siècle ( et ceux avant d’ailleurs) La folie était liée à l’utérus et à des infections ( mutilations en tout genre pour guérir de la folie des femmes qui voulait parfois juste ne pas rentrer dans le carcan qui leur était destiné). Un des meilleurs livres de Joyce Carol Oates

Un peu trop lent. Pas fini, trop long et lent

terrifiant

Humilié par une accusation mettant en cause son professionnalisme, le Dr Silas Weir, « père de la gyno-psychiatrie » au XIXe siècle, est contraint d’accepter un poste à l’Asile des femmes aliénées de Trenton, dans le New Jersey, où il sera autorisé à poursuivre sa pratique, sans contrôle pendant des décennies. Il s’impose rapidement comme un pionnier de la chirurgie, sans hésiter à soumettre les femmes aux modes d’expérimentation les plus abjects. L’ambition de Weir est exacerbée par son obsession pour une jeune servante irlandaise, nommée Brigit, qui devient non seulement sa principale patiente, mais aussi l’agent de sa destruction. Raconté par le fils aîné de Silas Weir, qui a répudié l’héritage d’un père trop brutal à ses yeux, Boucher est un voyage cauchemardesque allié à une histoire d’amour inattendue, dont la conclusion sera surprenante.

Récit glaçant du Docteur Weir qui, au prétexte de faire de la recherche médicale, et avide de célébrité, torture et tue les femmes «  aliénées «  de l’asile de Trenton, New Jersey. Début du 19 ème siècle, il est commode dans les familles, de se débarrasser d’une épouse , d’une fille qui ne voudrait pas se conformer aux us de l’époque. L’hystérie est nommée.Une solution peut-être : enlever les organes féminins pour retrouver la raison?? Nous n’oublierons pas Brigit, ni Gretel, ni aucune de ces femmes qui ont enduré l’indicible; mais l’auteure , justement, ne cache rien des faits abominables qui se déroulent à North Hall , dans le laboratoire secret du « Docteur « Weir.