Sylvain Tesson
Résumé
"Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie. J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal. Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché de vivre dans la lenteur et la simplicité. Je crois y être parvenu. Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à l'existence. Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si la richesse revenait à disposer de solitude, d'espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ? Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu."
Sylvain tesson s’isole dans une cabane au bord du lac Baïkal. Un peu monocorde mais j’aime l’écriture à deux vitesse : liteeaire et parfois très quotidienne.
« Il n’y a rien de plus satisfaisant que de boire l’eau récupérée dans la rivière, se chauffer avec son bois coupé et manger le poisson que l’on a pêché » « Plus on voit un endroit plus on le connait plus on l’aime. On ne se lasse pas du majestueux. » Très bon livre, agréable a lire on accompagne l’auteur dans ses péripéties on s’imagine avec lui et on a envie de vivre commeé il le fait pour ressentir sa pleinitude.
J’ai seulement lu 50. Je ne suis pas sensible à sa poésie.
Récit des 6 mois vécus dans une petite cabane au bord du lac Baikal, en Russie. Solitude, tristesse comble dans les verres de vodka
Ça passe
Sensibilité